Quand Marcelo Bielsa est en tribunes, Marseille joue mieux et gagne. Un camouflet pour José Anigo, mais aussi une nécessité pour boucler correctement la saison ? C'est notre "question qui tue" de la semaine.
Quand il est là, Marseille n’est plus le même. Marseille joue, Marseille gagne. Tant et si bien qu’on parle déjà d’effet Bielsa alors même que José Anigo occupe encore le banc phocéen. Les tribunes, c’est pour le technicien argentin. Pour l’instant. Pas encore nommé entraîneur (il devrait donner son verdict d’ici vendredi, selon le président Vincent Labrune), il affiche déjà un bilan de spectateur impeccable : deux matches, deux victoires contre Ajaccio (3-1) et Montpellier (3-2). Avec son calepin à la main, entouré de ses acolytes Manuel Amoros et Diego Reyes, «El Loco» a capté toute l’attention médiatique, mais aussi celle des joueurs, qui se sont maladroitement défendus d’être avertis de sa présence en tribunes. Sauf Alayxis Romao, qui a vendu la mèche : «On savait queBielsa était là, a t-il expliqué après la victoire à Montpellier vendredi. On voulait gagner en espérant qu'il soit content de notre prestation, on pense forcément à sa venue.»
Leur investissement accru sous les yeux du probable futur coach a d’ailleurs pas mal irrité certains observateurs, dont l’ancien Marseillais et désormais consultant sportif pour RMC Eric Di Meco :«Ce n'est pas normal que des joueurs qui ne mettent pas un pied devant l'autre depuis des mois se dépouillent sur le terrain parce qu'il y a celui qu'on imagine être le futur entraineur de l'OM dans les tribunes. A ce compte-là, ce n'est pas la peine de le faire venir et de lui payer un contrat mirobolant. Il suffit de lui payer un abonnement et du pop-corn, et les mecs gagnent toute l'année prochaine !»
Quand il est là, Marseille n’est plus le même. Marseille joue, Marseille gagne. Tant et si bien qu’on parle déjà d’effet Bielsa alors même que José Anigo occupe encore le banc phocéen. Les tribunes, c’est pour le technicien argentin. Pour l’instant. Pas encore nommé entraîneur (il devrait donner son verdict d’ici vendredi, selon le président Vincent Labrune), il affiche déjà un bilan de spectateur impeccable : deux matches, deux victoires contre Ajaccio (3-1) et Montpellier (3-2). Avec son calepin à la main, entouré de ses acolytes Manuel Amoros et Diego Reyes, «El Loco» a capté toute l’attention médiatique, mais aussi celle des joueurs, qui se sont maladroitement défendus d’être avertis de sa présence en tribunes. Sauf Alayxis Romao, qui a vendu la mèche : «On savait queBielsa était là, a t-il expliqué après la victoire à Montpellier vendredi. On voulait gagner en espérant qu'il soit content de notre prestation, on pense forcément à sa venue.»
Leur investissement accru sous les yeux du probable futur coach a d’ailleurs pas mal irrité certains observateurs, dont l’ancien Marseillais et désormais consultant sportif pour RMC Eric Di Meco :«Ce n'est pas normal que des joueurs qui ne mettent pas un pied devant l'autre depuis des mois se dépouillent sur le terrain parce qu'il y a celui qu'on imagine être le futur entraineur de l'OM dans les tribunes. A ce compte-là, ce n'est pas la peine de le faire venir et de lui payer un contrat mirobolant. Il suffit de lui payer un abonnement et du pop-corn, et les mecs gagnent toute l'année prochaine !»
