James Rodriguez en rêvait, le voilà désormais bel et bien au Real Madrid. Le meneur de jeu colombien quitte en effet l'AS Monaco, pour s'engager en faveur de la Casa Blanca
Avec 9 buts marqués et 12 passes décisives délivrées en 34 matches de championnat, James Rodriguez a connu un premier exercice riche en Ligue 1. Grand artisan de la deuxième place acquise par l’AS Monaco pour son retour parmi l’élite, le meneur de jeu colombien n’a pas mis bien longtemps à justifier l’effort financier colossal consenti par l’écurie du Rocher pour l’enrôler douze mois plus tôt, cette dernière déboursant 45 M€ pour l’arracher au FC Porto. La cote du maître à jouer a grimpé au fil des semaines, pour atteindre son apogée cet été.
En effet, le joueur a réalisé une Coupe du Monde de haut vol, Soulier d’Or de l’épreuve avec 6 réalisations. Faisant totalement oublier son compère Radamel Falcao, absent en raison d’une blessure au genou, le joyau de 23 ans a porté l’équipe de Colombie sur ses épaules, tirant tous les Cafeteros vers le haut. Une performance de choix, et une attitude de patron qui n’ont pas mis bien longtemps à séduire les dirigeants du Real Madrid, ne jurant désormais que par James. Un intérêt réciproque, le joueur déclarant il y a peu à Marca : « Ce serait un rêve que d’arriver dans l’équipe de mes rêves. (...) Si j’irais au Real les yeux fermés ? Bien sûr, je n’ai qu’une réponse à cette question : oui ».
Eh bien que le natif de Cúcuta savoure ce jour bien particulier, puisque son rêve vient d’être exaucé : « Le Real Madrid et l’AS Monaco ont trouvé un accord pour le transfert de James Rodriguez qui s’est engagé pour les 6 prochaines saisons. Le joueur sera présenté ce mardi à 20 heures », indiquent les Merengues dans un communiqué. Annoncé à Madrid contre un chèque de 80 M€, James arrive avec une pression inhérente au coût de l’opération. Il touchera 7 M€ par an sur un contrat de 6 ans et portera le numéro 10. À lui de justifier ce montant et, surtout, de trouver sa place au sein d’une équipe où la concurrence ne manque pas, aussi bien au poste de milieu relayeur qu’à celui d’ailier dans le 4-3-3 mis en place jusqu’alors. À moins que Carlo Ancelotti ne profite de cette arrivée pour diversifier ses systèmes de jeu...
Avec 9 buts marqués et 12 passes décisives délivrées en 34 matches de championnat, James Rodriguez a connu un premier exercice riche en Ligue 1. Grand artisan de la deuxième place acquise par l’AS Monaco pour son retour parmi l’élite, le meneur de jeu colombien n’a pas mis bien longtemps à justifier l’effort financier colossal consenti par l’écurie du Rocher pour l’enrôler douze mois plus tôt, cette dernière déboursant 45 M€ pour l’arracher au FC Porto. La cote du maître à jouer a grimpé au fil des semaines, pour atteindre son apogée cet été.
En effet, le joueur a réalisé une Coupe du Monde de haut vol, Soulier d’Or de l’épreuve avec 6 réalisations. Faisant totalement oublier son compère Radamel Falcao, absent en raison d’une blessure au genou, le joyau de 23 ans a porté l’équipe de Colombie sur ses épaules, tirant tous les Cafeteros vers le haut. Une performance de choix, et une attitude de patron qui n’ont pas mis bien longtemps à séduire les dirigeants du Real Madrid, ne jurant désormais que par James. Un intérêt réciproque, le joueur déclarant il y a peu à Marca : « Ce serait un rêve que d’arriver dans l’équipe de mes rêves. (...) Si j’irais au Real les yeux fermés ? Bien sûr, je n’ai qu’une réponse à cette question : oui ».
Eh bien que le natif de Cúcuta savoure ce jour bien particulier, puisque son rêve vient d’être exaucé : « Le Real Madrid et l’AS Monaco ont trouvé un accord pour le transfert de James Rodriguez qui s’est engagé pour les 6 prochaines saisons. Le joueur sera présenté ce mardi à 20 heures », indiquent les Merengues dans un communiqué. Annoncé à Madrid contre un chèque de 80 M€, James arrive avec une pression inhérente au coût de l’opération. Il touchera 7 M€ par an sur un contrat de 6 ans et portera le numéro 10. À lui de justifier ce montant et, surtout, de trouver sa place au sein d’une équipe où la concurrence ne manque pas, aussi bien au poste de milieu relayeur qu’à celui d’ailier dans le 4-3-3 mis en place jusqu’alors. À moins que Carlo Ancelotti ne profite de cette arrivée pour diversifier ses systèmes de jeu...
