136 armes blanches saisies dans une prison brésilienne

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136 armes blanches saisies dans une prison brésilienne
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L'armée brésilienne a trouvé des armes blanches, de la drogue et même des appareils d'électroménager lors d'une fouille dans une prison de l'État de Roraima (Nord), où 33 détenus ont été sauvagement tués le 6 janvier dernier.

Cette intervention dans la prison Monte Cristo a commencé vendredi matin et a mobilisé 335 militaires. Il s'agit de la première étape d'une grande opération lancée par le gouvernement pour tenter d'endiguer la vague de violence dans les prisons du pays, qui a déjà fait près de 140 morts depuis le début de l'année.

Selon le ministère de la Défense, la fouille a permis de saisir 136 armes blanches et 1,2 kilo de stupéfiants (cocaïne et marijuana). "Les armes, les munitions et les couteaux dans les prisons sont des facteurs qui ne font qu'aggraver la tragédie, en y ajoutant une sauvagerie inacceptable", a souligné le ministre de la Défense, Raul Jungmann en conférence de presse.

La liste d'objets saisis comprend aussi une grande quantité d'appareils d'électroménager et d'électronique que les détenus étaient parvenus à introduire dans la prison: 29 télévisions, 43 antennes, 11 lecteurs de DVD, 54 réfrigérateurs et 16 mini-fours.

Ce type d'opération est amené à se répéter dans d'autres prisons dans les prochaines semaines. Le ministre de la Défense a souligné qu'ils n'ont eu "aucun contact" avec les détenus de Roraima.

La guerre sans merci entre factions criminelles a déclenché une vague de violence sans précédent dans les prisons surpeuplées et vétustes du Brésil, notamment dans la région Nord, frontalière du Pérou et de la Colombie, d'où vient la plupart de l'approvisionnement en cocaïne.









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Un ancien joueur de Naples tué par la mafia
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Le corps de Renato Di Giovanni, ancien espoir de Naples, a été retrouvé criblé de balles.
Renato Di Giovanni, 21 ans, a été victime d'un règlement de comptes entre deux clans rivaux. Il a été tué par balles et retrouvé dans l'une des rues principales de la cité napolitaine.
Le jeune homme était arrivé en 2014 à Naples et était sorti du droit chemin après son départ pour un club de quatrième division. Après avoir quitté Naples, Renato Di Giovanni a basculé dans le trafic de drogue.
Lorenzo Insigne a rendu hommage à son ancien coéquipier sur les réseaux sociaux. "Renato Di Giovanni, depuis quelques temps, avait renoncé aux terrains de football et s'était rapproché du milieu dangereux de la drogue. Son assassinat, selon les enquêteurs, a été commandité par la mafia. RIP, petit champion."


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Un bateau transportant 31 personnes disparaît en Malaisie_29_01_2017

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Un bateau transportant 31 personnes, parmi lesquelles 28 touristes chinois, est porté disparu au nord de la partie malaisienne de l'île de Bornéo, a annoncé dimanche à l'AFP un responsable des gardes-côtes malaisiens.
"Le propriétaire du bateau a fait état samedi soir de sa disparition et nous avons lancé des recherches", a déclaré un porte-parole de l'Agence malaisienne de surveillance maritime (MMEA).
Outre les touristes, le bateau transportait un skipper et deux membres d'équipage. Les conditions météorologiques n'étaient pas bonnes samedi.
L'embarcation avait appareillé samedi matin à destination d'une île de mer de Chine méridionale située à une soixantaine de kilomètres à l'ouest de Kota Kinabalu, capitale de l'Etat de Sabah, qui se trouve à la pointe nord de l'île de Bornéo.
"Tous les proches des personnes à bord et moi-même espérons des progrès dans les opérations de recherches et de sauvetage", a déclaré le ministre du tourisme de l'Etat de Sabah, Masidi Manun. "Nos forces font de leur mieux".
De son côté, le ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué que son consulat général à Kota Kinabalu avait pris contact avec le gouvernement malaisien pour l'appeler à tout faire pour secourir ses ressortissants.
 
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Fusillade mortelle à la grande mosquée de Québec__30_01_2017

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Deux hommes ont tiré sur des fidèles rassemblés pour la prière du soir dimanche au Centre culturel islamique de Québec (également connu sous le nom de grande mosquée de Québec), dans le sud-est du Canada, faisant cinq morts et une dizaine de blessés.
Deux hommes aux visages masqués se sont introduits dans l'enceinte du centre culturel vers 19h15 dimanche (lundi 00h15 GMT), ont raconté des témoins sur les télévisions. Un important dispositif policier s'est mis rapidement en place aux alentours, et les premiers blessés étaient soignés dans des ambulances sur place.
"On me dit qu'il y a au moins cinq morts", a déclaré Mohammed Yangi, président du Centre culturel islamique de la capitale québécoise. Un porte-parole de la police de Québec a confirmé sur les chaînes de télévision qu'il y avait des morts, mais sans préciser le nombre des victimes.
Une vaste opération policière a été lancée après la fusillade et deux suspects ont été interpellés, dont un à quelques kilomètres de Québec après avoir pris la fuite.
"Les Canadiens pleurent les victimes de l'attaque lâche dans une mosquée de Québec. Mes pensées sont avec les victimes et leurs familles", a indiqué le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur son compte Twitter. Il avait la veille promis d'accueillir les réfugiés "indépendamment de leur foi", au lendemain de la décision controversée de la Maison Blanche d'interdire l'entrée des Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans.
Le chef du gouvernement de la province francophone Philippe Couillard a également condamné cette attaque contre des musulmans. "Le Québec rejette catégoriquement cette violence barbare. Unissons-nous contre la violence et solidarité avec les Québécois de confession musulmane", a-t-il écrit sur Twitter.
"Je condamne ce geste insensé", a aussi déclaré le maire de Québec Régis Labeaume.
Difficile dans la confusion de déterminer combien de personnes étaient rassemblées pour la dernière prière dimanche. Généralement, selon Mohammed Yangi, ce sont 60 à 100 personnes qui assistent à ces prières à la mosquée.
Les témoins avouaient leur incompréhension après cette fusillade. "Je ne comprends pas pourquoi ici, c'est une petite mosquée et Québec, ce n'est ni Montréal, ni Toronto", a déclaré un homme qui était à l'intérieur du centre au moment de l'attaque, sans vouloir donner son identité.
"On s'y préparait (à une attaque de ce type), car ça se passe dans le monde entier", a confié un policier chargé du périmètre de sécurité.
Le Centre culturel islamique de Québec avait déjà été la cible d'un geste à caractère haineux, mais beaucoup moins grave: une tête de porc avait été déposée devant l'une de ses portes l'été dernier. D'autres mosquées au Canada ont également été la cible de graffitis à caractère raciste au cours des derniers mois.
 
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