Histoire d'un héros, Houari Boumédiène

melka

DZSatien V.I.P
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Mohamed Ben Brahim Boukharouba est né officiellement[2] le 23 août 1932 à Aïn Hassainia, près de Guelma. Issu d'une famille pauvre, originaire de la petite Kabylie près de Jijel[3], les Boukharouba, dont le nom évoque le caroubier - (« kharoub », en arabe), au feuillage éternel et au fruit médiocre bon pour faire, surtout, la « confiture du pauvre ». Le père, un khammès (métayer au quint), élève difficilement ses cinq enfants : deux filles et trois fils, Ahmed, Mohamed et Saïd[4].
Le jeune Mohamed Boukharouba assiste aux événements sanglants du 8 mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata, dont il dira plus tard : « Ce jour-là, j'ai vieilli prématurément. L'adolescent que j'étais est devenu un homme. Ce jour-là, le monde a basculé. Même les ancêtres ont bougé sous terre. Et les enfants ont compris qu'il faudrait se battre les armes à la main pour devenir des hommes libres. Personne ne peut oublier ce jour-là.»
Il s'inscrit à Constantine, comme élève de langue et littérature arabes. Il étudie à la zaouïa Khattenia et à l'institut Ben Badis. Il entre, comme beaucoup de jeunes de sa génération aux « scouts musulmans », première pépinière du nationalisme algérien et milite à la base dans le parti nationaliste le plus radical, le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD).
En 1950. il poursuit ses études à la « Zitouna », de Tunis, mais le conservatisme somnolent de la vieille université de « l'Olivier » ne lui convient guère, et il s'en va, un an plus tard, suivre au Caire, en auditeur libre l'enseignement de la prestigieuse université religieuse al-Azhar et les cours du soir de « l'école Khiddouia ». Il ne peut compter alors que sur une maigre bourse et il gagne sa vie comme instituteur.
Toujours militant du MTLD, il donne un coup de main aux représentants de l'Algérie, de la Tunisie et du Maroc au « bureau du Maghreb arabe » qui travaillent à préparer, contre le système colonial français, une insurrection à l'échelle de toute l'Afrique du Nord. Il tourne la ronéo, tire des tracts développe sa formation politique et bientôt, sa formation militaire, il fait en effet partie du groupe de quinze étudiants que le bureau du Maghreb arabe envoie suivre à partir d'août 1953 des séances d'instruction à l'école de guerre d'Alexandrie et qui reçoit ensuite un entrainement militaire dans un camp proche du Caire. Très désargentés, les sept Algériens du groupe, lorsqu'ils se rendent dans la capitale, habitent une villa appartenant au bureau du Maghreb arabe. Deux délégués algériens à cet organisme, Mohamed Khider et Hocine Aït Ahmed, leur demandent au printemps suivant de quitter les lieux. Première déception pour le volontaire de Guelma.
Guerre d'indépendance

Après le déclenchement de l'insurrection algérienne de novembre 1954 - (Toussaint rouge), le Néo-Destour obtient l'autonomie interne de la Tunisie et il préfère négocier avec le gouvernement français la future indépendance du pays plutôt que d'arracher cette indépendance par les armes. Le « groupe des 15 » est dissous.
Ben Bella. troisième représentant de l'Algérie au bureau du Maghreb fait embarquer sur le Dina, le yacht ancré à Alexandrie de la reine Dina de Jordanie, un stock d'armes destiné aux résistants algériens et marocains qui doivent le réceptionner à Nador, au Maroc espagnol. Convoyé par neuf hommes sous le commandement d'un Soudanais, Brahim Niyal, et de Boukharouba, le navire arrive à bon port, non sans contretemps et péripéties. Boukharouba remet un message de Ben Bella au chef FLN Larbi Ben M'hidi qui acheminera vers la wilaya V la plus grosse partie de la cargaison d'armes.
Le trafic d'armes s'organise « depuis Nador jusqu'à Nemours, à travers mille et un détours ». comme écrit à un ami un des étudiants algériens convoyeurs. Boukharouba est l'un des principaux organisateurs de ces transports de matériel de guerre et lorsqu'il rentre au Maroc il se montre parmi les plus assidus des militants qui à la base d'Oujda, suivent les cours (stratégie, histoire, économie et politique) du Centre de formation et de perfectionnement du FLN.
Il travaille avec Boussouf, lui-même premier lieutenant de Ben M'hidi chef de la wilaya V. En 1956, Ben M'hidi laisse le commandement de la wilaya V à Boussouf pour entrer au CNRA, et quand Boussouf en septembre 1957, quitte le sol algérien, son successeur à la tête de la wilaya V est son ex-adjoint Boukharouba - ou plutôt Houari Boumédiène car le nouveau colonel commandant en Oranie a pris comme nom de guerre celui du célèbre mystique soufi Sidi Boumediene, saint et savant musulman, dont un sanctuaire à Tlemcen perpétue la mémoire.
Remarquable organisateur d'une wilaya qu'il dirige depuis le PC d'Oujda, au Maroc (mais en allant inspecter de temps à autre les maquisards de l'intérieur), nommé chef du commandement opérationnel de l'Ouest dès qu'il a gagné Tunis, désigné enfin comme chef de l'état-major général de l'ALN nouvellement créée, Boumédiène n'a pas cessé de prendre, au sein du FLN des responsabilités de plus en plus lourdes.
Tout le monde, dans les milieux, politiques comme dans la presse, s'interroge, dès lors, à son sujet. Comme il est volontiers discret et taciturne, qu'il prend vis-à-vis des journalistes et des diplomates une « distanciation » évidente et qu'il protège sa vie privée, on le présente souvent dans les capitales occidentales comme un dirigeant énigmatique, comme une sorte de sphinx sur le « mystère » duquel on greffe des légendes abusives.
Parce qu'il préfère parler arabe que français, qu'il n'aime pas tellement paraître en public et parce que la présence d'un interlocuteur qu'il connait ou devine mal le rend laconique et contracté, gêné et gênant, on l'assimile à un « moine-soldat » timide, ascétique et glacé. Il ne dissimule pas son attachement farouche aux valeurs culturelles ancestrales que l'islam véhicule au Maghreb et parce qu'il affirme la nécessité de construire, après l'indépendance, en Algérie comme en Égypte, un état fort puissamment structuré. On prétend enfin que Boumédiène est « nassérien ». En fait il n'apprécie guère le verbalisme emphatique de l'Orient et il se méfie de toutes les idéologies d'importation, de tous les modèles étrangers, bien qu'arabes, susceptibles, à ses yeux, de dénaturer ou de corrompre l'originalité, la spécificité algérienne.
Boumédiène n'ignore pas les aspirations progressistes des ruraux misérables ou des citadins prolétarisés de son pays et valorise, avant tout, ce qui vient du terroir et ce qui retourne au terroir.

La prise de pouvoir

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Proche de l'arabophonie et de la vision unique, refusant les accords conclus entre le président en place Ahmed Ben Bella avec l'opposition conduite par Hocine Aït Ahmed, alors responsable du FFS, Houari Boumédiène conteste le régime de son allié Ben Bella. Ne partageant pas les orientations politiques de ce dernier, il décide le 19 juin 1965 de mener un coup d'État au terme duquel il devient le nouveau président de l'Algérie.

Le modèle socialiste et la nationalisation des richesses locales

Houari Boumédiène en 1966 (au centre).


Sous sa direction, plusieurs actions sont entreprises en vue d'estomper sur le plan intérieur, les tensions nées de la guerre d'indépendance. En 1968, il réussit à faire évacuer la base militaire occupée par la France à Mers el-Kébir (Oran) ; alors que sur le plan économique, il opte pour le modèle socialiste, et fait construire sur la base de ce choix beaucoup d'usines et d'écoles. Il contribue surtout, le 24 février 1971, au nom du principe de la récupération des richesses nationales, à la nationalisation des hydrocarbures, au grand dam de la France. Il prononce à cette occasion sa célèbre phrase : « Kararna ta´emime el mahrouqate » : « Nous avons décidé la nationalisation des hydrocarbures ». Cette nationalisation réussie confère à Boumédiène une importante dimension internationale. En effet, Boumédiène a réussi là où l'Iranien Mossadegh avait échoué.

Une influence internationale

L’année 1973 lui donne une nouvelle fois l’occasion d’affirmer son influence sur le plan international en organisant avec succès le sommet des Non-alignés auquel les plus grands dirigeants du Tiers-Monde de l’époque assistent. Dès lors, l’Algérie de Boumédiène offre un soutien très actif aux différents mouvements de libération d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, et c’est en véritable leader du Tiers Monde qu’il se déplace en 1974 à New York, pour prendre part à une réunion spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU sur les matières premières qu’il a lui-même convoquée au nom des Non-alignés. Il prononce à cette occasion un discours exposant une doctrine économique, favorable entre autres à l’établissement d’un nouvel ordre économique international plus juste, qui prendrait en compte les intérêts du Tiers Monde. Il a pour cible l'exploitation des matières premières au profits des industries françaises. Au sein de celles-ci, le besoin d'une main d'œuvre à bas prix s'est fait sentir tout au long de leur développement. « Cette situation, nous ne pouvons pas la changer, ni dans quatre ans, ni dans cinq, ni peut-être dans dix ! Ce qui nous importe c'est de considérer l'émigration algérienne dans les pays européens, non pas comme un problème banal mais une question nationale. Personnellement, j’estime que, progressivement, de nombreux concitoyens qui ont émigré retourneront dès qu’ils pourront jouir des conditions de travail dans le pays. »[5].
En 1975 il accueille le premier sommet de l'OPEP par le biais duquel les membres du cartel ont pu définir une politique pétrolière concertée. Dans le sillage de cette même réunion, il parvint à sceller la paix entre l'Iran du Chah et l'Irak de Saddam Hussein. Sur le plan intérieur, il fait voter en 1976 une charte en vertu de laquelle il promulgue la constitution d'une Assemblée législative ainsi que la création du poste de président de la République, soumis au suffrage universel.

La réforme sportive

Au milieu des années 1970, le sport en Algérie battait largement de l’aile et les résultats internationaux de différentes sélections étaient très aléatoires, souvent médiocres. Les clubs dits “civil” étaient structurellement défaillants et les moyens manquaient largement. Toute l’organisation du sport en Algérie était interpellée sans que l’autorité politique ne trouve le moyen de pallier l’obsolescence qui frappait la plupart des disciplines.

Le 19 juin 1977, au stade du 5 Juillet d’Alger, à la finale de la coupe d’Algérie entre la JS Kabylie et le NA Hussein Dey, l’hymne national est copieusement sifflé par les supporters kabyles en présence du président Houari Boumediène et des membres de son gouvernement.
Dès les jours suivants, le défunt président, sans doute marqué par cet incident qui risquait, selon l’une de ses confidences, de mettre à mal la cohésion nationale, sollicitera un collège d’experts pour analyser la situation et proposer des solutions pour dépassionner l’atmosphère sportive et remettre le sport sur les rails du progrès. Une expérience originale et tout à fait inédite se concoctera en été dans des bureaux de la présidence de la République, avant que ne soit effectué un large remaniement ministériel dès la rentrée de septembre, qui verra l’inamovible ministre de la Jeunesse et des Sports de l’époque Abdellah Fadhel (1965-1977) céder sa place à un jeune diplomate du nom de Djamel Houhou.

Au premier Conseil des ministres de septembre, le ton est donné : le sport algérien connaîtra une réforme en profondeur. Cette décision vient à point nommé pour bouleverser complètement des structures surannées, une pratique à bout de souffle atteinte partiellement par le chauvinisme, la manipulation et les calculs clubards étriqués. Un communiqué fleuve du Conseil des ministres indiquait les mesures suivantes : Les associations auront une nature statutaire. Elles seront scindées en deux parties : l’Association sportive communale dite de type amateur (A.S.C.) et l’Association sportive de performance (A.S.P.) qui intéressera les clubs de l’élite. Les associations sportives communales formeront la composante du sport dit de masse. Elles seront prises en charge par les APC ou, pour certaines d’entre elles, par des structures étatiques de différents secteurs (santé, justice, douane, université, entreprises publiques moyennes, etc.).

Les autres clubs huppés de la division une participeront à une compétition d’élite et se pareront du statut d’association de performance formées d’athlètes dits de performance. Les sportifs qui s’y affirmeront, (notamment au niveau des équipes nationales) se verront décerner le statut d’athlètes de haute performance et se verront leurs émoluments relevés. Les ASP seront ainsi parrainées par les plus grandes sociétés nationales, telles que Sonatrach, la Société nationale de sidérurgie (SNS), la Société électronique Sonacat, la CNAN, etc. Comme il n’existait pas en ce temps-là de primes à la signature de la licence et que les effectifs des clubs étaient assez correctement stabilisés, les athlètes étaient intégrés à l’entreprise et y bénéficiaient d’une formation professionnelle adéquate, afin de jouir d’un profil de carrière en vue de les rassurer sur leur avenir. Il est évident qu’avec la force financière colossale dont se caractérisaient les grandes sociétés nationales, monopolistiques de leur secteur d’activité, les budgets des clubs devenaient conséquents et étaient gérés par des cadres de l’entreprise, nouveaux dirigeants à la compétence incontestable. Le plus douloureux dans cette opération d’envergure fut le changement partiel de sigle de tous les clubs dits civils. Sous la houlette d’une centralisation du pouvoir au sein du ministère de la Jeunesse et des Sports, celui-ci allait d’autorité dénaturer le siglage et le rendre conforme avec son nouveau “logeur”, à savoir la société nationale de parrainage. Il y était notamment fait interdiction de se déclarer ou de faire référence à une région donnée. Des dénominations franchement à la limite du farfelu allaient naître comme la jeunesse sportive Kawkabi (JSK), Mouloudia des pétroliers d’Alger (MPA, ex MCA), Raed Solb de Kouba (RSK, ex RCK), Jil Sakakine Bordj Menaiel ([JSBM), Milaha Athletic d’Hussein Dey (Mahd, ex Nahd ), union sportive de la kahraba d’Alger (USKA, ex USMA) et on en passe ...

Une nette désaffection du public se fait immédiatement ressentir, ce qui a pour effet de dépassionner la compétition et de permettre aux clubs de mieux être en phase avec des actions de formation puisqu’il était fait obligation aux ASP d’ouvrir des écoles de sport (chaque association de performance avait en charge plusieurs disciplines) et de consentir un meilleur investissement aux jeunes catégories. Une saison plus tard, à la faveur des résultats encourageants que commençait à générer cette politique, le public reprendra le chemin des enceintes sportives. C’était le début de la période dorée du sport national. En 1978, l’Algérie survolera des Jeux africains relevés qu’elle a eu à organiser sur son sol. Des performances qu’elle confirmera un an plus tard aux Jeux méditerranéens de Split. Le football en a été l’hirondelle (troisième place après avoir fait sensation en demi-finale face à la Yougoslavie).

Le football fort d’un amalgame de joueurs jeunes et talentueux et de moins jeunes ira de victoire en victoire (Coupes d’Afrique, bonne tenue en Coupe du monde 1982 et 1986 ). Les autres disciplines n’étaient pas en reste puisque tant le handball (cinq couronnes africaines consécutives) que la boxe ou l’athlétisme pour ne citer que ceux-là connaîtront leurs heures de gloire. Entre-temps, Houari Boumediene n’était plus là pour récolter les fruits d’une révolution sportive qui a redonné sa fierté au peuple algérien, que ce soit au niveau continental qu’international.
Déchargé des pesanteurs négatives, fort d’une volonté politique à toute épreuve et de la couverture des moyens de l’Etat, la reforme sportive a donné des fruits délicieux durant les années 1980. Cette politique sera malheureusement abandonnée au lendemain des émeutes d’octobre à cause d’une réorientation de la politique économique nationale sous Chadli Bendjedid sonnant du coup le déclin du sport national. Les sociétés déstructurées et en pleine difficulté allaient se séparer progressivement des clubs les abandonnant à leur sort. Le sport algérien rentrera dès lors dans un long tunnel duquel il n’est pas sorti à ce jour.
Décès

À partir de l'année 1978, les apparitions publiques du président Houari Boumédiène se font de plus en plus rares, et il s'avère qu'il souffre d'une maladie du sang, la maladie de Waldenström [6]. Toutefois, très peu de choses ont été dites à propos des circonstances qui entourèrent sa mort, survenue le 27 décembre 1978.
Selon d'autres sources, les premiers ressentis de la maladie de Houari Boumédiene apparurent lors de son voyage du 20 septembre 1978 à Damas (Syrie) où, alors qu'il était accompagné d'Ahmed Taleb Ibrahimi et d'Bouteflika, ces derniers avaient remarqué sa fatigue inhabituelle. Le diagnostic avancé dès lors était « une hématurie avec tumeur maligne de la vessie ». Pour cela il choisit de se faire traiter en URSS du 29 septembre au 14 novembre 1978. Le 12 octobre, lors de la visite de son jeune frère Saïd venu le voir à Moscou, Boumediène n'apprécie pas que le voyage de son frère soit financé par de l'argent public et demande aussitôt qu'il soit retenu sur le salaire du président. Quelques jours après, il sera hospitalisé à l'hôpital d'Alger Mustapha Bacha où il décédera le 27 décembre 1978 à 4 heures du matin avec deux hématomes dans le cerveau. Les funérailles officielles auront lieu le 29 décembre 1978 au cimetière d' El Alia (à Alger)[7].
Selon l'ex-ministre des Affaires étrangères irakien Hamed Jabori, Boumédienne a été empoisonné par les services irakiens avec du thallium[8].

Source Wiki

 
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Bonsoir
chouf a si melka , avec tout le respect que je vous dois , mais c est loin , tres tres loin d etre mon model à moi
merci a zine
mais parles pas à mon nom donc lol fallait mettre " Notre model à tous (moins) - cascroute " mdr
( pour rire)
qu il aille au diable , et chui pas kabyle mais berbere vu que je vis dans ce bled à deux balles
prenez soin de vous
 
Voilà une belle biographie d' un homme intègre
Lorsque je passais mon service militaire
Un officier nous a racconté une belle anecdote
Alors qu il visitait une caserne il a laissé les officielles
qui étaient avec lui et alla voir un djoundi qui était
accoudé a un mur ,celui ci ne l avait pas vu et il lui dit
Ma khamamch koulch y fout il saisit son porte feuille sortit 100 dinars et lui dit
Piaulât c est tout ce que j ai et il répéta koulch y fout
 
Salam

Comment peut-on suggérer à la jeunesse de ce pays un tel modèle ? Un planqué des frontières dont le niveau scolaire ne dépassait pas le brevet moyen et qui a manigancé avec ses pairs (Boussouf, Bentobal, ...) l'exclusion (puis l'assassinat?) de l'élite de la révolution pour planifier l'imposture, la prise de pouvoir illégitime post indépendance...Comment prendre un personnage pareil pour modèle alors qu'il n'a jamais tiré un seul coup de feu pendant que les valeureux combattants tombaient pour que vive l'Algérie?...C'est vraiment triste de voir les dégâts causés par le FLN et l'ecole fawdhamentale durant des décennies!
 
qu'il aille en enfer inchallah en tant que kabyle je lui pardonne pas
Heureusement que les voix du seigneurs sont impénétrables, en tant que kabyle,
c'est quoi ce regionalisme à deux balles, kabyles chawi, mouzabitt, yéw reveillez vous, on à un seul drapeau et une religion qui nous unis, et la diversité culturelle est un plus et non un sujet de discorde,
Houari Boumediene, restera à jamias un grand homme d'etat, Que tu le veuilles ou pas
qu il aille au diable , et chui pas kabyle mais berbere vu que je vis dans ce bled à deux balles
prenez soin de vous

tu es plus, à plaindre qu'à blamer,
prepare ton passeport et demande asile dans un bled qui merite ton respect, pauvre idiot
 
oui ,un tres bon modèle pour tous ces nouveaux dictateurs qui gouvernent le monde arabo-baathiste....
et oui ,pourqu'oi pas un modélé pour ces chers forumistes de dzsat qui censure et ceux qui versent à longueur de journées leur venin sur tous ceux qui ne pensent pas comme eux...
surtout lorsqu'il s(agit de casser du kabyle...............................................................
ce forum devient presque une cellule de la police politique.
avec tous mes respects pour nassou,le fondateur....
 
loul
faut accepter les critiques , si celà est votre opinion , inutile d y mentionner les insultes avec
de toute et de rien , le mental ignard des algeriens nous a toujours laissé exclus du monde
vu que vous meme , vous n acceptez point l avis d ' autrui ,
bon bah , sur ce je vous laisse
APPRENEZ A RESPECTER L AVIS DES AUTRES ET BIEN ENTREPRENDRE UNE DISCUTION
ENTREPRENDE = (POUR VOTRE GOUVERNE MESSIEURS LES ANALYSTES) =#= alors entreprendre = comprendre le sujet + savoir peser les pour et les contre = reflechir avant de commenter + en etre convaincu + surtt surtt lol respecter l avis adverse ... mouah ... je vous aime , vous savez pourquoi ? à chaque post ici ou ailleurs , je distingue la faiblesse de caractere dont les algeriens font preuve , d ' ou la force de certains que j admire , helas , sont peu et le resteront
++
prenez soin de vous
bye
 
Si le titre de mon post pose un soucis à certain désolé et je comprend que c'est mon titre qui fait réagir et non la bibliographie.
Ce qui est positif, c'est que chacun par ses positions, nourrit le point de vue de l'autre
et c'est comme ça qu'on avance ...
 
ce forum il risque de devenir comme echourouk et sa compagnie , pour mr zappeur pourquoi des que on commence a revendiquer sa region c fini on est taxé , coller une etiquette de regionaliste , mais bon ta pensée est l'heritage de ce petit nabot boumediene qui disait la meme chose que toi , donc arretez de detournez le sujet , je si je suis kabyle donc je suis algerien
 
salam
si celui qui a ecrit ou copié collé la biographie de feu boumediene a vecu a son epoque,alors je le considere comme ces pauvres gens qu'on voit actuellemnt acclamer el khadafi,homme riche jusqu'a l'os et fait vivre son peuple dans une igonrance des temps des cavernes alors que ses cherubins vivent comme des princes et depensent l'argent du peuple a gauche et droite sans scrupule!!
enfin,bref,moi j'ai vecu le temps de boumediene en tant qu'ecolier et simple citoyen,et je garde tjrs cette image de ma vie de tous les jours d'un inoccent garçon weld meskine: LE PISTON SANS PITIE,LA HOGRA,L IMPUNITe POUR LES "QULEQUNS" ET LEURS REJETONS.....ETC......! LE SOCIALISME:mon oeil!!!!!les fils et filles de kmekem qui etaienta vec moi a l'ecole venaient tous en deesse noire,et recevaient les prix en fin d'annee meme s'ils etaient les bourrico de la classe!!il fallait honorer les rejetons de la nomenclatura,sous peine d'etre taxé anti houkouma!!!!!alors arretez d'induire en erreure la nouvelle generation,surtout ceux qui font du copier collé sans avoir vecu les annees de la hogra des annees 70 !!!!!!!!!!!
ps:pour celui qui a reçu les 100 da au service national:dis moi si ta vu les enfants des kmemkem faire leur service national????? faire la garde dans la casemate,prendre du cinq - cinq,planter les arbres du barrage vert,goudronner les routes du deserts algeriens ?????
on est en 2011 bon dieu et on est tjrs obnibulé par les khourafates des annees du tfesti des annees 70!!!!!
 
Dernière édition:
allah yerahmou et respect pour lui et toute sa famille , car c'est un etre humain avant tout , mais il reste loin tres loin d 'etre un model de leader national , et il est pour bcp de choses concernant les crises sociaux politiques qu'a connu l'Algérie il a fait bcp d'erreurs qui nous ont couté cher comparé a ce qu'il a fait de bien ça ne couvre pas son echeque politique

allah yerahmou et que dieu lui pardonne inchallah
 
Je ne tarderais pas dans mon commentaire et n'insulerais personne ;mais ma èponse est une forme de question àvos tous:
POURQUOI IL A PRESIDE L'ALGERIE AVEC UN FAUX NOM ,a-t-il honte de sa famille ,de son père ,de sa mère ou de sa région ,etes vous certain qu'il a une famille ,etes vous certains qu'il est Algérien???????????????
Moi ,si jmais un jour jour je devenais président de l'Algérie(hahaha!!)je garderais mon nom et prénom qui m'ont fait honneur et dont je suis très fière,ALORS ,POURQUOI?????
 
oui ,un tres bon modèle pour tous ces nouveaux dictateurs qui gouvernent le monde arabo-baathiste....
et oui ,pourqu'oi pas un modélé pour ces chers forumistes de dzsat qui censure et ceux qui versent à longueur de journées leur venin sur tous ceux qui ne pensent pas comme eux...
surtout lorsqu'il s(agit de casser du kabyle...............................................................
ce forum devient presque une cellule de la police politique.
avec tous mes respects pour nassou,le fondateur....

1. si tu n'aime pas le forum tu le quite ce n'es pas si dur que ça.
2. chaqu'un et libre du penser et le dire apres si tu es contre pas du probleme .
3. le forum et un espace pour tout le monde et non pour une pensé.
 
pour moi ce Houari Boumédiène et le pilier du mal qui regne en algerie du 2011 !!
 
Il a fait quoi le fln depuis que la farnce et parti?????

Reconnaissance officielle de l'indépendance de l'Algérie

3 juillet 1962

La question n'est pas de savoir ce qu'il a fait depuis que la France est partie,
L'interet c'est justement que la France est partie grace aux combattants de l'ALN et à nos Chahids ( que la paix soit sur eux ).

On peut avoir un regard critique mais sachons raison garder replacer les choses dans le contexte mondial de l'époque,
beaucoup de pays et notamment les pays qui ont réalisé une révolution ont opté pour le socialisme mais avaient-ils le choix,
sachant que leur colonisateur étaient des pays occidentaux capitalistes.

Qui dans les années 60 aurait pu prédire que l'utopie du socialisme allait conduire les économies vers l'impasse et pas seulement elle, d'ailleurs.

De toute façon, les autres pays du 1/3 monde qui ont opté pour le systéme capitaliste notamment au Moyen Orient ou Afrique ou encore en Europe de l'Est.
ont obtenu le même résultat.

La seule chose qui est certaine, c'est qu'il faut des décennies pour construire un pays et que l'histoire du notre est jeunes en regard de ceux qui comptent sur le plan économique.


Le Pays est le produit de ce que nous sommes tous collectivement, l'histoire du FLN est lié à son peuple,
il ne vient pas de la planète Mars.

Toute façon tout les habitants du monde arabe et quelque soit le model choisit, tous détestent leurs dirigeants.

Je n'ai pas connu l'Algérie des années 70 mais chez moi, les anciens nous racontent que c'était la belle époque, les meilleures années de l'Algérie.

Inch'Allah que l'histoire évolue dans le bon sens, avec plus de paix, de bonheur, d'égalités et de droit pour tout le monde.


Nota: Ce que j'exprime n'est que mon point de vue et le forum garantie l'expression dans la limite de la charte que je respecte.
 
Dernière édition:
Les maghrébin et les arabe en général n'ont toujours pas compris que la décolonisation fut la plus grosse farce du 20 ieme siècle.
Il faudra encore du temps avant de comprendre.
 
moi je dis heureux les martyrs qui n'ont rien vus ce qui se passe dans notre cher pays , aujourd'hui on glorifie les laches et on a oublié les hommes qui sont mort pour cette patrie , ce Buydedyen dans vous parler je prefere ne pas rentrer dans la polemique pour ce lache , qu'il aille en enfer
 
salam allikoum
toute ce que je viens de lire sur cette discutions ressemble a ce qui ce passe dans le monde entier il n'y a pas un pays a ma connaissance qui a un gouvernement qui fait du bien au peuples il aide tous les gros patron déjà bien garni question finance .
même la chine et la russie on une politique capitaliste alors boumedienne ou mao ou kennedy ect... il sont tous kifkif.
pour les kabyles je dirait que ce sont tous simplement des berbère comme presque tous des algériens (quelque example:chaoui,mezabit,touareg).
pour ce qui est de notre vie actuel je dirait a tous les algerien arreter de donner la tchipa ca serat toujours ca de gagner.
SVP: arrêter de vous insulter mutuellement

merci a tous
 
salam allikoum
toute ce que je viens de lire sur cette discutions ressemble a ce qui ce passe dans le monde entier il n'y a pas un pays a ma connaissance qui a un gouvernement qui fait du bien au peuples il aide tous les gros patron déjà bien garni question finance .
même la chine et la russie on une politique capitaliste alors boumedienne ou mao ou kennedy ect... il sont tous kifkif.
pour les kabyles je dirait que ce sont tous simplement des berbère comme presque tous des algériens (quelque example:chaoui,mezabit,touareg).
pour ce qui est de notre vie actuel je dirait a tous les algerien arreter de donner la tchipa ca serat toujours ca de gagner.
SVP: arrêter de vous insulter mutuellement

merci a tous
 
boumedienne: un dictateur parmi d'autre ; un putchiste ; un anti-kabyle de premiere
qu'il aille en enfer une seconde fois....
 
1. si tu n'aime pas le forum tu le quite ce n'es pas si dur que ça.
2. chaqu'un et libre du penser et le dire apres si tu es contre pas du probleme .
3. le forum et un espace pour tout le monde et non pour une pensé.

1-non ,red ,je n'ai jamais eu de problemes avec zdsat et c l'un des forums que j(aime le mieux-
2-tu dis que chacun est libre d'avoir des idées différentes ,mais tu fais le contraire en censurant mes écrits
3-c'est qu'on voulait faire de ces discussions ,malheuresement détournés et redirigés à un sens.

en voyant les membres qui t'ont remercier, il n ya pas de doute .................

voyez bien ce qu'ils postent ,et vous rendrez vous mme compte ds débats qu'ils veulent imposer...............
 
1-...et vous rendrez vous mme compte ds débats qu'ils veulent imposer...............

Je vois que certains membres intervenants t'ont déprimé! Si cela peut te réconforter, je te rappelle (car tu le sais bien au fond) que personne ne peut imposer ses idées aux autres, surtout pas en aboyant, et que les danseurs du ventre on en trouve partout; il faut juste savoir les éviter de la même manière que l'on prend garde à éviter les crottes en marchant, car, si par inadvertance on marche dessus c'est la puanteur générale...
Mon fraternel salam.
 
Dernière édition:
Je ne tarderais pas dans mon commentaire et n'insulerais personne ;mais ma èponse est une forme de question àvos tous:
POURQUOI IL A PRESIDE L'ALGERIE AVEC UN FAUX NOM ,a-t-il honte de sa famille ,de son père ,de sa mère ou de sa région ,etes vous certain qu'il a une famille ,etes vous certains qu'il est Algérien???????????????
Moi ,si jmais un jour jour je devenais président de l'Algérie(hahaha!!)je garderais mon nom et prénom qui m'ont fait honneur et dont je suis très fière,ALORS ,POURQUOI?????
il faut pas parler d'un Grand Homme comme ca c indigne de ta part.
 
1-non ,red ,je n'ai jamais eu de problemes avec zdsat et c l'un des forums que j(aime le mieux-
2-tu dis que chacun est libre d'avoir des idées différentes ,mais tu fais le contraire en censurant mes écrits

j'ai pas commenter ton opinion mais t'a position envers le forum . relis mon commantaire peut etre tu va comprendre.
 
salam, je ne comprend toujours pas pourquoi vous dite je suis kabyle sur tous devant les français, que de dire tous simplement je suis algérien, j'ai des copains comme tu dit kabyle mais eu je leur tire mon chapeau jamais il dise je suis kabyle je suis d'origine kabyle mais algérien avant tous j'ai qu'un drapeau, je n'ai rien contre se qui sont d'origine kabyle
 
salam, je ne comprend toujours pas pourquoi vous dite je suis kabyle sur tous devant les français, que de dire tous simplement je suis algérien, j'ai des copains comme tu dit kabyle mais eu je leur tire mon chapeau jamais il dise je suis kabyle je suis d'origine kabyle mais algérien avant tous j'ai qu'un drapeau, je n'ai rien contre se qui sont d'origine kabyle, vive l'algerie
 
A Mr Melka
Réponse au titre
Histoire d'un héros et de notre model à tous, Houari Boumédiène

Tout d’abord qu’est ce que un héro, qu’est ce que un modèle ?????.
Pour moi un héro c’est ce pauvre paysan mort au maquis sans que personne ne connaît et personne ne dit mot sur lui, c’est des milliers d’Algériens qui ont combattus pour leurs liberté sans personnes ne sonnaient.
Boumediene que certains disent le héro, en 1957 pendant la guerre fait rage en Algérie, Boumediene était en Tunisie ou il commandait ce qu’il appelait l’armée des frontières, il y a plus de 10 000 Hommes bien armés stationnaient en Tunisie et ils attendent la fin des combats, l’indépendance pour que Boumediene avec Ben Bella rentrent avec l’armée des frontières en Algérie combattent les vrais moudjahidine de la Wilaya 3 et 4 sous armes avec beaucoup de morts ou le peuple se révolté avec la le fameux slogan ‘sebasnine barakat (7 ans ça suffi ) ,puis il fait le coup d’état a son ami Ben Bella ,tue le colonel Chabani car il n’est pas d’accord avec lui,puis en 1966 une partie de l’armée se révolte contre lui envoie des avions pilotaient par des russes fait un carnage prés d’el hemis ils y a beaucoup de morts.
Il instaure la réforme agraire la destruction de toute notre agriculture,distribue des primes sans rendement,créé des sociétés nationales sans rentabilités on employant énormément d’employés qu’il faut pour acheter la paix des citoyens.
Il reste au pouvoir de 1965 a 1978 de force jusqu’à la mort ,il ni a ni respect au peuple ou tu la ferme ou tu meurt .Est ce un modèle du criminel à suivre
Mes Salutations
 
Ait Abi,

Je considère ton message enprunt d'une certaine ambiguïté sur sa forme !
Tu personnifies ton message a mon adresse, "A Mr MELKA".
Tu personnifies ton message à mon adresse, " A Mr MELKA" dans une discussion ouverte.
Je trouve qu'un MP aurais été plus approprié pour un message "personnifié" à l'adresse de quelqu'un.
C'est l'usage et c'est que j'aurais fait.
Si je ne suis pas d'accord avec un point de vue exposé par un membre alors j'expose un contre poind de vue.
C'est l'usage et c'est ce que je fait.
Jamais mon frère je te pointerais du doigt pour te désigner à tous.
Si je ne suis pas d'accord avec toi mon frere, je me battrais avec toi
et pour toi afin que tu puisses exposer ton point de vue.
Dans mon esprit mon frere, il ne saurait y avoir de délit de pensée.
Si tu es d'accord avec moi, mon frère, sache que tout le reste importe peu.

Sur le fond, mon frére....

Je reproduis ton message que j'encadre et surligne afin que chaque membre qui passe par là, puisse le lire deux fois plutôt qu'une.

Réponse au titre
Histoire d'un héros et de notre model à tous, Houari Boumédiène


Tout d’abord qu’est ce que un héro, qu’est ce que un modèle ?????.

Pour moi un héro c’est ce pauvre paysan mort au maquis sans que personne ne connaît et personne ne dit mot sur lui, c’est des milliers d’Algériens qui ont combattus pour leurs liberté sans personnes ne sonnaient.

Boumediene que certains disent le héro, en 1957 pendant la guerre fait rage en Algérie, Boumediene était en Tunisie ou il commandait ce qu’il appelait l’armée des frontières, il y a plus de 10 000 Hommes bien armés stationnaient en Tunisie et ils attendent la fin des combats, l’indépendance pour que Boumediene avec Ben Bella rentrent avec l’armée des frontières en Algérie combattent les vrais moudjahidine de la Wilaya 3 et 4 sous armes avec beaucoup de morts ou le peuple se révolté avec la le fameux slogan ‘sebasnine barakat (7 ans ça suffi ) ,puis il fait le coup d’état a son ami Ben Bella ,tue le colonel Chabani car il n’est pas d’accord avec lui,puis en 1966 une partie de l’armée se révolte contre lui envoie des avions pilotaient par des russes fait un carnage prés d’el hemis ils y a beaucoup de morts.

Il instaure la réforme agraire la destruction de toute notre agriculture,distribue des primes sans rendement,créé des sociétés nationales sans rentabilités on employant énormément d’employés qu’il faut pour acheter la paix des citoyens.

Il reste au pouvoir de 1965 a 1978 de force jusqu’à la mort ,il ni a ni respect au peuple ou tu la ferme ou tu meurt .Est ce un modèle du criminel à suivre

Mes Salutations

Mes Salutations fraternelles Ait Abi et sache que pour Boumédiène, je persiste et je signe.
 
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