Internet 3G+ ou 4G en Algerie!

medamine60

DZSatien Légendaire
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29/10/10
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Bonjour à tous,
Je voudrais savoir svp si quelqu'un a des informations fiables sur la date de lancement de l'internet mobile en Algerie? Une annonce de l'opérateur, de l'agence de réglementation des telecom ou un article de journal.
Cette information est tres importante pour moi pour lancer un projet sur place avec mes collègues algériens.
Merci les amis.
A+
Amine
 
Bonsoir,
Merci beaucoup Youcef, j’espère que cela vraiment se faire fin Q1.
A+
Amine
 
je crois que c est du khorti fi klhorti ici il y aura ni 3 G ou 4 G tant que ces incompetant sont a la tete d'algerie telecom,. d'ici l'an 2020 au moins.
 
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faudra liquider un certain ................. qui détient la licence .............................
sinon peut être que la marmaille de ta marmaille va connaitre ce privilège
 
Y'a khou réseau internet Mazalna retard alors 3G enssa. Et pour la 4g je te dit . LOooooooooooOL mon frère.
Peut être un jour pk pas ? Mais ce sera pas pr le moment
 
Bonjour à tous,
on est vers la fin du permier trimestre !
Quelqu'un a des nouvelles concernant la mise en place de la 3G prévu cette periode?
Merci par avance les amis.
A+
Amine
 
Bonjour à tous,
on est vers la fin du permier trimestre !
Quelqu'un a des nouvelles concernant la mise en place de la 3G prévu cette periode?
Merci par avance les amis.
A+
Amine
j'ai lu un article dans le journal hier et sa disait que 3G+ en algérie,,,, nada de chez nada on l'aura jamais lol
si je retombe sur l'article je le publierai ici
 
Merci moose24,
Oui poste le si tu le retrouve stp!
Ils ont dit pour quoi "nada" Infrastructure ? couts? decision ??
Merci
Amine
 
La 3G est disponible en somalie alors pourquoi pas en Algérie ! en soyez négatif patience...
Wait and see @++++++++++
 
voila j'ai retrouvé l'article paru hier dans le journal Liberte :

Sans titre.jpg

et par la meme occasion j'ai trouvé un nouvel article paru aujourd'hui meme qui parle de la 3G en Algérie dans le journal Liberte toujours:

Sans titre2.png

moi jme voile plus la face comme il l'a dit nos hommes politiques croient que sa sera une menace de plus pour eux donc je dis qu'on l'aura jamais cette foutu 3G moi je l'attends plus
 
Vers Septembre ou Octobre pas avant mais la 3G-
 
Bonsoir

moi jme voile plus la face comme il l'a dit nos hommes politiques croient que sa sera une menace de plus pour eux donc je dis qu'on l'aura jamais cette foutu 3G moi je l'attends plus

Très bien dit :cl16:

Et surtout, n'oublions pas les étrangers qui investissent en Algérie, si un jour on aura la 3G, c'est grâce à eux, ils ont besoins et ils font la pression pour l'avoir...
 
2053? tu veux dire que c'est la date de l'annonce du retard qu'ils vont prendre encore mdr
 
Le ministre chargé des trésors ( finance ) à bloqué Sciemment l'investissement sur la 3G ! pour des raisons que seul les arcanes du pouvoir le savent .
Le ministre des télécommunications passe pour un menteur !
 
juste parce que l adsl est plus facile a contrôlé que la 3G je ponce
 
[h=2]Tandis que la téléphonie mobile de 3e génération fait polémique, certains experts remettent en cause l’opportunité même de lancer cette technologie au moment ou la 4G serait plus indiquée.
[/h]Au Maroc, la 3G a été lancé en 2007. Elle compte aujourd’hui plus de 3,2 millions d’abonnés et représente plus de 80% des abonnements Internet. Dans le monde, une étude a chiffré le nombre d’utilisateurs des technologies 3G/4G à 1,6 milliard au troisième trimestre 2012. Pendant ce temps, l’Algérie attend le règlement du dossier Djezzy pour lancer la 3G, ce qui relève de «l’aberration», estime Younes Grar, expert en TIC. D’abord parce que le gouvernement «veut que les trois opérateurs démarrent sur la même base, alors qu’il peut décider de n’octroyer qu’une seule licence au lieu de trois». Ensuite, «l’octroi de la licence sera soumis à un cahier des charges et à des conditions et rien ne dit que Djezzy pourra y répondre. Ce n’est donc pas logique de l’attendre». Enfin, «si Djezzy obtient cette licence, il n’est pas dit que ses 16 millions d’abonnés pourront bénéficier de la 3G d’un coup. Il est possible qu’il ne cible qu’une partie d’entre eux la première année car il ne peut pas installer dés le départ un réseau qui puisse absorber 16 millions de clients. Il doit procéder par étapes».

Intérêts occultes

Pourquoi donc prétexter Djezzy pour bloquer le lancement de la 3G, alors que les deux dossiers «traînent depuis 3 ans ?», note un autre consultant en TIC pour qui les dossiers «sont relativement indépendants». Pour ce dernier «rien sinon l’incompétence et l’improvisation qui en découle ne peuvent expliquer de tels délais». Le constat est qu’il «n’y a aucune cohérence ou logique dans les décisions prises par l’Autorité ou le ministère pour la simple raison qu’aucune stratégie, aucun objectif d’envergure nationale, aucun plan d’action (stratégique ou opérationnel) et aucun programme et donc a fortiori aucun indicateur permettant d’assurer le suivi des actions n’est défini ou mis en place par ces institutions». En l’absence d’arguments convaincants, la porte est ouverte à toute sorte de spéculations.
«Dans une telle situation les intérêts divers et occultes ne peuvent que foisonner, et embrouiller du même coup davantage la donne», souligne notre interlocuteur.
M. Grar parle de son côté de «lobbying qui est fait par certaines parties qui voudraient prendre des parts dans un opérateur», d’où le blocage. Car le gouvernement n’a aucune raison valable. S’il avait peur de la circulation de l’information «il doit bloquer même l’Internet. On n’a pas besoin de la 3G pour que les gens s’expriment librement et contre le pouvoir. Ce n’est pas non plus l’aspect sécuritaire puisque des attentats terroristes ont été commis par téléphone mobile et sans 3G. Et ce n’est pas non plus un problème de contenu». Selon lui, le dossier de la 3G «n’a pas été traité avec courage et transparence et personne ne sait pourquoi».

Choix contesté

Quelles que soient les motivations, la démarche du gouvernement témoignerait d’une certaine «improvisation en matière de choix technologique», nous dit un autre expert qui en veut pour preuve une étude réalisée en 2011 sur l’opportunité du lancement de la 3G ou de la génération suivante, la 4G. «Ni le MPTIC ni l’ARPT ne disposent à ce jour d’arguments, ou d’études qui plaident en faveur de la 3G ou… contre la 4G/LTE (Long Term Evolution)», soutient-il, car la seule étude qui existe conforterait plutôt la thèse de la 4G, estime-t-il.
L’étude en question aurait conclu que «si l’on se place dans des perspectives d’intérêt général de développement et non dans des perspectives particulières de développement (intérêts défendus par les opérateurs présents sur le marché et les autres acteurs au service de ces derniers) alors c’est incontestablement le choix de la 4G/LTE qui s’impose». Le fait est que «la 4G inclut la 3G, mais la 3G n’inclut absolument pas la 4G».
Ainsi, un choix 3G qui «ne tient pas compte des perspective 4G pourrait empêcher un déploiement massif de la 4G (problème de disponibilité des fréquences, notamment)», indique la même source. Elle précise que «le Président lui -même avait exigé du ministre de réaliser une telle étude» qui était «claire en matière de coût d’infrastructures, de terminaux, et de services… et en totale contradiction avec les annonces faites en la matière par le MPTIC». Au lieu de conditionner le dossier 3G/4G/LTE à la résolution de celui de Djezzy, le MPTIC «gagnerait à concentrer les efforts sur la résolution du problème ‘‘technique’’ de la 3G/4G/LTE qui relève de ses compétences», soutient la même source. Le nombre d’abonnées à la 4G s’élevait à 9,3 millions dans le monde fin 2011 et plus de 27 millions en 2012 dont la moitié en Amérique du Nord, selon l’institut IDATE. Il devrait atteindre plus de 900 millions en 2016.

Safia Berkouk​

- - - Mise à jour - - -

[h=2]Echaudé par l’affaire Djezzy, miné par l’échec du second opérateur de téléphonie fixe, Lacom, le gouvernement a pris ses dispositions dans le nouveau texte régissant le secteur des télécommunications, actuellement en débat à l’Assemblée populaire nationale, pour éviter des mésaventures similaires.
[/h]Ce projet de loi, loin d’être une révolution, rattrape néanmoins certains retards dus à l’ancien texte, 2000-03, et apporte quelques nouveautés, comme le principe de la portabilité, qui donne la possibilité à tout abonné de conserver son numéro de téléphone lorsqu’il change d’opérateur. Même s’il ne cite pas explicitement le droit de préemption de l’Etat, le projet de loi fixant les règles applicables aux activités de la Poste, des télécommunications et celles liées aux technologies de l’information et de la communication, le gouvernement a protégé ses arrières. La complication de l’affaire Djezzy, toujours en attente d’être reprise par l’Etat à hauteur de 51% après avoir été transférée sous tutelle du russe Vimpelcom, alors que sa licence d’exploitation avait été vendue à l’égyptien Orascom Telecom, a poussé le législateur à réagir. L’article 151 du projet de loi stipule ainsi, qu’«en cas de cession de la licence, de vente d’équipements et d’infrastructures mis en place dans le cadre de l’exploitation de cette licence, de faillite, de dissolution anticipée ou de cessation d’activité de l’opérateur, l’Etat se réserve le droit d’acquérir les actifs de l’opérateur».
Le gouvernement réaffirme et renforce une position déjà exprimée à travers la loi de finances complémentaires de 2009, qui stipulait que «l’Etat, ainsi que les entreprises publiques économiques, disposent d’un droit de préemption sur toutes les cessions de participation des actionnaires étrangers ou au profit d’actionnaires étrangers». Il faut dire que l’affaire Djezzy risque de coûter cher à l’Etat, car si la licence d’exploitation du réseau GSM a été cédée à Orascom Telecom pour 735 millions de dollars, son rachat auprès de Vimpelcom risque de coûter 10 fois plus. Le russe réclamant 7 à 8 milliards de dollars alors que l’Etat algérien ne serait pas disposé à dépenser plus de 4 à 5 milliards de dollars. Tout cela aurait pu être évité si un tel aspect avait été «pris en compte dans le cahier des charges fixant les conditions préliminaires», estime un expert en télécommunications. Selon lui, «le problème des lois reste leur exécution, car il y a toujours des zones d’ombres et des interprétations différentes».

Signe d’ouverture

Pour certains observateurs, les législateurs ont «une manie» et parfois même font « exprès» de produire des textes qui peuvent avoir «différentes interprétations, pour se garder une marge de manœuvre» et qui se traduisent souvent par des situation de «blocage». Le gouvernement feindrait l’ouverture, tout en prévoyant des garde-fous à même de maintenir le statu quo. Ainsi, l’article 123 précise que «les opérateurs de réseaux publics de télécommunications fixes sont tenus de donner droit aux demandes de dégroupage émanant d’autres opérateurs». Autrement dit, l’opérateur historique Algérie Télécom est tenu d’ouvrir son réseau aux opérateurs tiers sur le segment de la boucle locale, soit la partie du réseau filaire reliant l’abonné final au principal centre téléphonique local. Le dégroupage étant défini par le texte de loi comme «l’accès à la boucle locale d’un opérateur fixe pour la fourniture de services de TIC».
L’on se souvient que le dégroupage avait été l’un des principaux points d’achoppement ayant conduit à la faillite de l’opérateur égyptien Lacom, entré sur le marché algérien en 2005 suite à l’acquisition de la deuxième licence de téléphonie fixe pour 65 millions de dollars et sorti en 2008 après avoir perdu 42 millions de dollars durant l’année 2006. Lacom accusa le gendarme du marché, l’ARPT, de parti pris et d’être à l’origine de ses déboires, car n’ayant pas «donné suite à la demande concernant le dégroupage avec l’opérateur historique Algérie Télécom», tandis que ce dernier réduisait ses prix «au-dessous du coût de revient». Lacom avait, en effet, demandé un dégroupage partiel lui permettant de lancer une offre ADSL, comme cela avait été possible pour le provider Internet EEPAD. L’actuel ministre du secteur, Moussa Benhamadi, PDG d’Algérie Télécom, avait estimé, quand Lacom avait quitté le marché algérien à l’époque, que la vente d’une nouvelle licence fixe en Algérie était «inutile». Dans le nouveau texte de loi, une brèche est ouverte, certes, mais le législateur renvoie cette disposition aux textes d’application, en précisant que «les conditions et modalités liées au dégroupage sont précisées par voie réglementaire».

Conflit d’intérêt

La voie réglementaire est également nécessaire dans le cas de la disposition prévoyant de soumettre l’agrément des terminaux et équipements de télécommunication à un second contrôle de conformité après celui de l’ARPT (art 171). L’Autorité de régulation a déjà réagi à cet article, y dénonçant implicitement un conflit d’intérêt dans lequel le ministre serait impliqué du fait que son frère, Abderrahmane Benhamadi, est PDG du Groupe Condor, spécialisé dans les produits de l’électronique, informatique et des télécommunications et qui avait lancé il y a quelques semaines le premier smartphone algérien. Selon Ahmed Damou, expert en télécoms, «si cette disposition conduit à une multiplication d’interlocuteurs ou une redondance des procédures de contrôle, alors elle serait un contresens» et de toute manière «si contrôle il y a, il faudra systématiquement éviter qu’une institution soit juge et partie. Si contrôle il faut, il doit être fait par un organe indépendant relevant de la Présidence ou du Premier ministère».
Cette disposition n’a pas fini de provoquer la polémique en attendant le sort qui sera réservé par les députés à ce texte.

Safia Berkouk​
 
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