SADI céde sa place

tamurt

DZSatien Impliqué
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7/6/09
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le dr sadi est pour l’alternance au sein du RCD.
Décision courageuse....................................

voici une chronique de DIDI BARACHO---DANS http://www.algerie-express.com/index.php/

Le psychiatre part, mais les fous sont toujours là !



Branle bas de combat depuis hier au ministère de la Défense, mais aussi à l’Intérieur, chez Daho « la magouille », à la Présidence, à la DGSN, à Dély Brahim chez les généraux M. dit T. et T. dit B. et dans tous les bars et toutes les mosquées algériennes.
Les malades mentaux, les maniaco-dépressifs, les déficients psychologiques, les alcooliques anonymes, en kaki ou en djellaba, les frustrés sexuellement ainsi que les obsédés sexuels, les hommes violés, les baltaguias du samedi matin, les Renseignements généraux, les schizophrènes chroniques, les kleptomanes multirécidivistes des Douanes, les amnésiques du ministère du mercenariat et de la mémoire nationale défaillante, dit ministère des Moudjahiddines, les anciens psychopathes repentis du GIA, de l’AIS, du FIS. Et d’’un autre côté Aït Ahmed, le directeur de l’école privée de Lausanne qui forme les politiques professionnels, Amara Benyounès, dit Hadj Bettou, l’affairiste agréé par le DRS, Seddik Chihab, la forme la plus humanisée de la race canine agissant au sein du RND, Abdelaziz Belkhadem, le playboy de la mouvance islamo-conservatrice et Abou Djerra Soltani, l’amiral de la pêche en méditerranée.
Et enfin, mes amis, Anis Rahmani et H’mida Layachi, les deux journalistes que nous envient ARTE et ses émissions culturelles ainsi que Lounès Guemmache qui sait presque tout sur l’Algérie et sur les Indigènes grâce à son réseau 3G relié à la Centrale de Ben Aknoun.
Tout ce beau monde est en émoi. Les détraqués n’ont plus de psychiatre. Même si le cabinet psychiatrique reste ouvert, le Docteur passe la main. Le geste est assez rare pour déstabiliser tous ceux qui pensent qu’un psychiatre, qu’un général ou qu’un président sont éternels.
Autour de quelques bouteilles de vin et de milliers de comprimés de Valium, achetés au noir à Amara Benyounès, j’ai réuni, à la salle Ibn Khaldoun, tous ceux qui souffrent de névrose obsessionnelle ou phobique pour les rassurer et leur prescrire un traitement spécifique. Certains se sont immédiatement mis à insulter le psychiatre. Ah oui, il va leur manquer. C’est la raison pour laquelle, je leur ai notamment conseillé de se trouver un autre souffre-douleur et, surtout, d’exiger la démocratie, car le plus grave, ce n’est pas d’être fou et d’insulter le psychiatre. Le plus dangereux dans une société serait d’insulter le psychiatre et d’applaudir les fous. Mais ça, c’est une autre histoire. Alors, malgré tout, vive les Indigènes !
 
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