radmau
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Alors que la 3G approche à grands pas, les opérateurs de téléphonie mobile ne semblent pas intéressés par la télévision.
La seule chose qui les intéresse c'est les contenus vidéos. Et pourtant, la télévision reste le premier intérêt des Algériens, puisqu'ils dépensent des centaines de millions pour se connecter sur Internet et regarder les matchs de football et les programmes télévisés.
Actuellement, il existe une formule de sharing qui permet de regarder les bouquets Canal Satellite et Al Jazeera et même certains autres programmes de divertissement et de culture.
Pour le moment, seul les opérateurs de téléphonie fixe arrivaient à proposer des formules de «three play» (téléphone, vidéo et Internet).
Le premier à proposer cette formule de connexion Internet télévision a été le premier provider privé en Algérie: Eepad.
Ce dernier a même réussi à signer avec Canal+ pour diffuser ses programmes, mais après la fermeture de cette entreprise suite à un conflit financier avec Algérie Télécom, la formule Internet télévision a été abandonnée.Même Algérie Télécom qui avait les moyens techniques et logistiques pour reprendre ce marché lucratif.
Le PDG d'Algérie Télécom a même dénoncé sharing, pirate des télévisions étrangères en Algérie et certains fabriquant des démos numériques qui offrent des possibilités pour capter les bouquets Canal Satellite et les bouquets d'Al Jazeera gratuitement sans payer le moindre abonnement.
Le P-DG d'Algérie Télécom a affirmé qu'il n'avait pas les moyens financiers pour payer les droits des télévisions étrangères, notamment Canal+.
Selon certaines sources, Eepad, qui n'avait pas les moyens financiers de l'opérateur historique de l'Internet, a pu installer des plates-formes.
Donc il est possible aujourd'hui avec la 3G de se connecter et regarder les matchs de la Champion's league, comme le font tous ceux qui piratent via le sharing, Al Jazeera. En Europe, le sharing est interdit et plusieurs pirates sont poursuivis en justice. L'affaire la plus récente est celle de ce pirate belge qui, revendant des recepteurs modifiés et des abonnements à un serveur de «Cardsharing», s'est vu confisquer son materiel par le tribunal correctionnel de Dinant (Belgique). Alors que l'avocat du prévenu plaidait le vide juridique, les parties civiles réclamaient un «exemple» au tribunal correctionnel. Le juge a conclu qu'il s'agissait bien d'un dispositif illicite et a condamné le pirate à 150 années de travaux d'intérêts généraux (transformés en 6 mois de prison faute d'exécution) et la saisie de 111.000 euros correspondants aux bénéfices de ses activités. Le responsable de ce piratage était un informaticien belge dont la piste avait été remontée par un détective mandaté par les opérateurs de bouquets numériques.
lexpressiondz.com
La seule chose qui les intéresse c'est les contenus vidéos. Et pourtant, la télévision reste le premier intérêt des Algériens, puisqu'ils dépensent des centaines de millions pour se connecter sur Internet et regarder les matchs de football et les programmes télévisés.
Actuellement, il existe une formule de sharing qui permet de regarder les bouquets Canal Satellite et Al Jazeera et même certains autres programmes de divertissement et de culture.
Pour le moment, seul les opérateurs de téléphonie fixe arrivaient à proposer des formules de «three play» (téléphone, vidéo et Internet).
Le premier à proposer cette formule de connexion Internet télévision a été le premier provider privé en Algérie: Eepad.
Ce dernier a même réussi à signer avec Canal+ pour diffuser ses programmes, mais après la fermeture de cette entreprise suite à un conflit financier avec Algérie Télécom, la formule Internet télévision a été abandonnée.Même Algérie Télécom qui avait les moyens techniques et logistiques pour reprendre ce marché lucratif.
Le PDG d'Algérie Télécom a même dénoncé sharing, pirate des télévisions étrangères en Algérie et certains fabriquant des démos numériques qui offrent des possibilités pour capter les bouquets Canal Satellite et les bouquets d'Al Jazeera gratuitement sans payer le moindre abonnement.
Le P-DG d'Algérie Télécom a affirmé qu'il n'avait pas les moyens financiers pour payer les droits des télévisions étrangères, notamment Canal+.
Selon certaines sources, Eepad, qui n'avait pas les moyens financiers de l'opérateur historique de l'Internet, a pu installer des plates-formes.
Donc il est possible aujourd'hui avec la 3G de se connecter et regarder les matchs de la Champion's league, comme le font tous ceux qui piratent via le sharing, Al Jazeera. En Europe, le sharing est interdit et plusieurs pirates sont poursuivis en justice. L'affaire la plus récente est celle de ce pirate belge qui, revendant des recepteurs modifiés et des abonnements à un serveur de «Cardsharing», s'est vu confisquer son materiel par le tribunal correctionnel de Dinant (Belgique). Alors que l'avocat du prévenu plaidait le vide juridique, les parties civiles réclamaient un «exemple» au tribunal correctionnel. Le juge a conclu qu'il s'agissait bien d'un dispositif illicite et a condamné le pirate à 150 années de travaux d'intérêts généraux (transformés en 6 mois de prison faute d'exécution) et la saisie de 111.000 euros correspondants aux bénéfices de ses activités. Le responsable de ce piratage était un informaticien belge dont la piste avait été remontée par un détective mandaté par les opérateurs de bouquets numériques.
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