5 juillet 2009 OU est notre histoire ?

ait abi

DZSatien Accro
Inscrit
7/10/07
Messages
532
5 juillet 2009 OU est notre histoire ?
47 ans passés sans connaître notre histoire, on dirait que l’état algérien a débuté en 1962,on sait que la France est entrée en 1830 c’est tout.
Avant 1830 y a-t-il un état algerien, si oui comment est organisé ?
J’ai l’impréssion que nos célébres dirigeants qui ne dirigent rien sauf leurs affaires ne veulent pas que notre histoire soit connue et je dirait mêmé nos intélléctuels ne font rien,on dirait qu’ on a honte de notre passé.
Prenez un exemple qui n’est pas loin ,pendant la guerre de libération l’armée des frontière qu’ elle est sont rôle,attendre l’indépendance rentré en algérie et prendre le pouvoir et nous récité la chanson « Biseme thoura Bisem chaab ect. Ect…
La plupart des résponsables vivent dans des palaces au maroc, c’est des personnes qui n’ont jamais participé a la révolution maintenant ils ont leurs cartes de moudjahid leurs pensions voilà nos héros. J’ai habité un petit Village il y a 67 moudjahidiene tous sont morts excépté 5 qui sont revenus avec des blessures. Les véritables harkis ce sont ces moudjahidine de palace.En 1962 ils sont rentés de Tunisie ou du Maroc bien gras bien joufflus et voilà nos célébres combattants.
Certe l’algérie a produit des HEROS mais aussi de ZEROS

A BEAU MENTIR CELUI QUI VIENT DE LOIN
 
no coment vu ton age, mais durant ces dernier années, je n'ai jamais attendu Un chef de l 'etat de l'Algerie, prend la TV pour présenter ses voeux au peuple algeriens lors des fetes nationale ou fetes religieuse ( aid et fitr et adha ) il présente ses voieux au chef des autres etats et bon a son peuple, meme les fetes nationale sont passe aux oubliettes dites moi quant vous aviez attendu Un president de l'algerie dire aux algeriens bonnes fete de l aid ou bonne fete de l independance rien basta.
 
JUILLET 1962-JUILLET 2009 : Une grande nation est née
thumbnail.php


Le 5 Juillet 1962, c'est déjà il y a 47 ans. Le temps est passé très vite. Quarante-sept ans, c'est à peine croyable que ces images dans la vie de la nation soient aussi vieilles, faites de couleurs, celles du pays, répandues sur tous les balcons, portées par les adultes, les femmes et les enfants. Le sentiment le plus fort, le plus noble, en plus de la joie de voir les frères (El Khaoua) descendre des maquis, c'est la fraternité des Algériens. La grande solidarité, visible dans le comportement de tous les jours. C'est là le sens véritable de cette lutte de Libération nationale qui a épaté le monde entier. Ce jour-là, une a nation était née et plus tard d’autres nations, dans les quatre coins du monde, verront le jour, prenant exemple sur la belle leçon de l'histoire que les Algériens ont infligée au système colonial le plus rétrograde de la planète. Les Algériens n'ont pas fait d'amalgame, ni au déclenchement de la guerre de Libération nationale, ni pendant, ni après l'Indépendance. Le système colonial, qui a opprimé l'Algérie, a opprimé l'humanité entière. L'histoire ne le dit pas assez encore, mais c'est une question de temps, de recul et d'intelligence de l'homme sur soi. Les Mourad Didouche, Larbi Ben M'hidi et autres chouhada comme Krim Belkacem, le colonel Lotti et Si L'houès ont combattu une idéologie raciste, un système brutal et oppresseur des civils, jamais sa nation d'origine ou ses enfants. Au cours d'un procès du FLN à Paris, en pleine guerre de Libération nationale, le moudjahid Hamada dira à ses juges que "le jour de l'indépendance, l'Algérie se souviendra seulement de l'aide que des Français ont apporté à sa cause". Sans rajouter un seul mot, car il a tout dit à ses juges bien sûr, mais il a parlé aussi à l'histoire qui lui donnera raison peu de temps après. Ni rancune, ni souvenir d'hostilité, malgré la disparition de 1,5 million des meilleurs d'entre nous. Les Français seront reçus comme chez eux par l'Algérie indépendante et nos compatriotes d'origine européenne ou juive, invités par les autorités du pays à "vivre avec nous comme n'importe quel Algérien, en droit et en devoirs". Il faut le rappeler, la guerre de Libération nationale a été menée contre un système colonial et la grosse colonisation qui le finançait pour réprimer "les indigènes' et chasser les paysans de leurs terres. Une politique pratiquée actuellement par Israël contre nos frères palestiniens qui mènent héroïquement une guerre de grand sacrifice face à cette justice, unique dans les annales de l'histoire. C'est pourquoi la célébration par les Algériens de ce jour historique de notre indépendance doit être aussi celui de l'espoir pour la Palestine. Des peuples qui attendent que justice leur soit rendue, comme le peuple sahraoui. Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, n'a jamais manqué une seule grande occasion pour formuler cet espoir pour les peuples qui souffrent, qui luttent et qui remporteront la victoire du sacrifice et de l'honneur. C'est une loi de l'histoire. L’Algérie aujourd'hui mène une politique d'ouverture sur le monde. Ce n'est pas un choix de circonstance, de conjoncture ou d'intérêt économique, c'est une philosophie qui découle des principes de Novembre, fondés sur la tolérance et l'amitié avec les autres nations et peuples. La France fut l'ancienne puissance coloniale. C'est avec ce pays cependant que nous entretenons les meilleures relations en ce moment. D'abord parce que nous l'avions souligné, les Algériens ont cette culture du pardon, non de l'oubli. Le Président Bouteflika a, de son côté, tout fait pour que les relations avec la France soient débarrassées de ce complexe colonial et des préjugés qui l'accompagnent. Entre la France et l'Algérie, il n'y a pas d'autre choix que de renforcer les relations marquées par un destin lié des hommes. Le facteur humain est le plus important, car des millions de nos compatriotes émigrés et "pieds noirs" vivent de l'autre côté de la Méditerranée, l'Algérie toujours au cœur.
C'est toute la signification qu'il faut donner au combat des Algériens, des chouhada qui sont tombés au champ d'honneur (pour paraphraser Louis Aragon), "sans haine en eux pour le peuple français", et reprendre Cheikh Abdelhamid Ben Badis, par sa déclaration célèbre : "Nous ne sommes pas les ennemis de la France, mais les ennemis du colonialisme".

LIRE AUSSI LE LIEN SUIVANT

La Tribune Online - Ni harga ni hedda, l?Algérie dans le c?ur?

à Suivre
 
Retour
Haut