REDPILL
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Le 4 avril dernier, Horizons a acquis une voiture de marque Toyota Corolla auprès d’un concessionnaire situé à Ben Aknoun. Rien n’indiquait que pour un véhicule neuf, des problèmes allaient se poser moins d’un mois après sa mise en circulation. Le 27 du même mois, quelle ne fut la surprise du chauffeur de se voir arrêté dans un barrage de la sûreté nationale.
Stupéfait, il apprend que le véhicule était recherché et que l’immatriculation inscrite sur sa carte jaune était celle d’un véhicule recherché.
D’emblée, une question élémentaire se pose : comment peut-on délivrer une même identification à deux véhicules identiques ? L’un s’avère être volé après agression sur son chauffeur dans les environs de Ghardaïa.
Dans toute entreprise qui respecte ses clients et se respecte elle-même, on se plierait en quatre pour s’excuser devant une telle méprise. Ce n’est apparemment pas le style de la maison Toyota qui ne se comporterait peut-être pas ainsi en Europe. Ici, malgré ses profits, elle toise ses clients de haut.
Les lenteurs de ses responsables qui se rejettent la balle et rechignent à offrir au client arnaqué un véhicule neuf n’a d’égal que leur empressement à encaisser le chèque.
Là, personne ne se débine et tout le monde arbore le sourire de circonstance. Depuis des jours, le quotidien Horizons se démène pour se faire remplacer le véhicule litigieux.
On peut sans peine imaginer les difficultés qu’aurait éprouvées un simple citoyen face un tel mur d’incompréhension et, disons-le, face à cette mauvaise de foi.
Chez Toyota, une maison décidément différente des autres, on est allé jusqu’à proposer un véhicule usagé comme s’il s’agissait seulement de faire taire le client. Mieux ou, plutôt, pire, on a insinué que le problème est du ressort des services de la wilaya. Inélégante et intrigante façon de fuir ses responsabilités.
Horizons-dz
Stupéfait, il apprend que le véhicule était recherché et que l’immatriculation inscrite sur sa carte jaune était celle d’un véhicule recherché.
D’emblée, une question élémentaire se pose : comment peut-on délivrer une même identification à deux véhicules identiques ? L’un s’avère être volé après agression sur son chauffeur dans les environs de Ghardaïa.
Dans toute entreprise qui respecte ses clients et se respecte elle-même, on se plierait en quatre pour s’excuser devant une telle méprise. Ce n’est apparemment pas le style de la maison Toyota qui ne se comporterait peut-être pas ainsi en Europe. Ici, malgré ses profits, elle toise ses clients de haut.
Les lenteurs de ses responsables qui se rejettent la balle et rechignent à offrir au client arnaqué un véhicule neuf n’a d’égal que leur empressement à encaisser le chèque.
Là, personne ne se débine et tout le monde arbore le sourire de circonstance. Depuis des jours, le quotidien Horizons se démène pour se faire remplacer le véhicule litigieux.
On peut sans peine imaginer les difficultés qu’aurait éprouvées un simple citoyen face un tel mur d’incompréhension et, disons-le, face à cette mauvaise de foi.
Chez Toyota, une maison décidément différente des autres, on est allé jusqu’à proposer un véhicule usagé comme s’il s’agissait seulement de faire taire le client. Mieux ou, plutôt, pire, on a insinué que le problème est du ressort des services de la wilaya. Inélégante et intrigante façon de fuir ses responsabilités.
Horizons-dz
