élection présidentielle en Algérie

Le FLN a annoncé ce samedi 9 février avoir désigné Abdelaziz Boutefika(81 ans) comme le candidat du parti aux élections présidentielles du 18 avril prochain.
L’annonce a été faite par le coordinateur de l’instance dirigeante du FLN Moad Bouchareb, lors d’un meeting à la Coupole d’Alger.

le chef du gouvernement assure que l'état de santé d'Abdelaziz Bouteflika n'est pas un obstacle.
« Il a eu un AVC, en avril 2013, et il a remporté la présidentielle, en avril 2014, dans ce même état de santé », insiste ce responsable politique.






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[video=youtube;BBt99b-Ly1k]https://www.youtube.com/watch?time_continue=107&v=BBt99b-Ly1k[/video]
Le FLN désigne Bouteflika comme candidat en l'absence de l’intéressé ?? .......il est ou votre candidat !!??
 
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Boutef est immortel les amis , c'est le premier Pharaon Algerien

Toutenkarton ,1ER du nom ,même mort et empaillé il continuera a diriger l’Algérie d'une main rigide vue qu'il ne bouge plus meskine.

Pourquoi les peuples arabes(sans aucune exception en plus ) se laissent ridiculiser a ce point , ne vaut-il pas mieux crever avec honneur en essayant de les faire dégager que d’être traiter comme un chien?
 
C'est dans la logique d'un régime en état de putréfaction avancée.
C'est des pratiqes qui relèvent de la haute trahison.
 
Quand on pense être arrivé au fond du trou,il y en a qui creusent encore...

Le meeting du FLN, durant lequel le parti a désigné Bouteflika comme candidat à la présidentielle, a été marqué par une bousculade.

Tout ça pour s'afficher près d'une photo !!!

 
Quand on pense être arrivé au fond du trou,il y en a qui creusent encore...

Le meeting du FLN, durant lequel le parti a désigné Bouteflika comme candidat à la présidentielle, a été marqué par une bousculade.

Tout ça pour s'afficher près d'une photo !!!


Bonsoir, quand tu vois qui ils soutiennent tu peux t'attendre à tout .....

إذا لم تستحي فافعل ما شئت

Quand je vois des jeunes hommes , jeunes femmes, des gens de tout âge parmi ces adhérents et applaudissent pour un président fantôme..... là je peux vous dire que notre Algérie sen fonce de plus en plus......... le virus a contaminé toutes les catégories.... dommage.
 
Je croyais que le meeting du FLN c'est pour l'élection de CHADLI ,je me trompe ? mais quel différence ce n'ait qu'un jeu de mots.
 
Un virus se jugule.
Ils ne représentent même pas 10% du peuple.
On se croirait dans un Saloon. Quelle image ils donnent de l'Algérie.
Et dire qu'ils empêchent les autres de se manifester ou simplement de travailler honnêtement.
Mais il y a une fin à tout quand le reste du peuple se réveillera.
Et cette fin viendra.
Et là ça va faire mal.
 
It's been a long time coming
But change is gonna come....

Sam Cook
 
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Dilem 2014!
 
Bouteflika se présente a un cinquième mandat.et pourtant il avait déclaré il y a 20 ans, qu'un candidat a la présidentielle est considéré inapte lorsqu'il est malade...
c'etait il y'a 20 ans, depuis il a changé d'avis.....


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Plusieurs milliers de manifestants opposés au 5e mandat que brigue l'actuel président algérien Abdelaziz Bouteflika ont defiler dans plusieurs villes du pays ce vendredi 22 fevrier

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[video]http://afrique.lepoint.fr/actualites/algerie-retour-sur-une-journee-de-mobilisation-inedite-contre-la-candidature-de-bouteflika-22-02-2019-2295605_2365.php[/video]

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Merci.
Et comme le dit si bien Dilem, nouvelle rassurante...
 
qui peut nous aider a lire l'intégralite de l'article ?merci !

Algérie : ce que révèlent les archives secrètes de la France sur Bouteflika



EXCLUSIF. Bien avant d'être un président grabataire, Abdelaziz Bouteflika a été le plus jeune ministre des Affaires étrangères du monde, surveillé de près par les services français. "L'Obs" a eu accès à leurs rapports.


Par Céline Lussato
Publié le 26 février 2019 à 12h56

Abdelaziz Bouteflika – qui, à 82 ans, briguera de manière insensée un cinquième mandat présidentiel en avril prochain – n'a pas toujours été ce vieillard grabataire manifestement incapable de diriger son pays.
Dans les années 1960 et 1970, alors ministre des Affaires étrangères de la jeune Algérie révolutionnaire, il était l'un des personnages les plus en vue de la scène internationale. Les plus espionnés aussi. Surtout par les services de renseignement et les diplomates français, dont "l'Obs" a étudié les notes, certaines déclassifiées à notre demande.
Coups bas et manigances

C'est en Machiavel imbu de lui-même et corrompu que ces archives dépeignent celui qui, en 1963, prend la tête de la diplomatie algérienne, à 26 ans seulement :
"Un personnage dénué de scrupules, doté d'une intelligence aiguë et d'une très grande ambition, capable de risquer sa mise sur un seul coup."Quel contraste avec l'homme qu'il est devenu ! Et pourtant quel écho au temps présent dans ces documents historiques : coups bas, manigances, huis clos insondable au sommet de l'Etat, soupçons d'enrichissement personnel… comme si rien ou presque n'avait changé.

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[video]https://www.nouvelobs.com/monde/20190225.OBS0766/algerie-ce-que-revelent-les-archives-secretes-de-la-france-sur-bouteflika.html?fbclid=IwAR3DVhyeg7P87O6dPtVXsZElF Gn6s7C-Bj4lppIk0mD7l4CIrklthxtstJQ[/video]

 
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L'Algérie, le cauchemar de Macron

C'était début février. Nous demandions à un haut responsable français ce qui inquiétait le plus Emmanuel Macron. Une nouvelle crise financière ? Une cyberattaque massive des Russes ? Des frappes américaines sur l'Iran ? "Vous n'y êtes pas", a répondu ce personnage central de la macronie. "Le cauchemar du président de la République, c'est l'Algérie. C'était aussi celui de ses prédécesseurs. Les plus hautes autorités de l'Etat sont terrifiées par la perspective d'une grave déstabilisation de notre ancienne colonie après la mort de Bouteflika [président depuis 1999]."

Cette confidence date de plusieurs jours avant les manifestations de la jeunesse algérienne contre un cinquième mandat du président grabataire. On imagine donc aisément qu'aujourd'hui l'Algérie est plus que jamais le sujet numéro un des préoccupations de l'Elysée. Une grave crise politique dans ce pays si proche – à la suite d'une révolte de la jeunesse et/ou d'une disparition de son président – risque, en effet, de poser des problèmes considérables à la France.

En 2014, déjà, un document confidentiel du Centre d'analyse, de prévision et de stratégie du Quai d'Orsay s'intéressait à la "nécrologie prospective" (sic) représentant une menace pour la France : "La mort d'un dirigeant, était-il écrit dans cette note du 2 décembre 2014 adressée au ministre Laurent Fabius et à laquelle nous avons eu accès, n'est pas forcément source de crise, mais plusieurs pays présentent une fragilité particulière lorsqu'ils réunissent les trois facteurs suivants : l'âge avancé du dirigeant ; la concentration excessive du pouvoir ; l'absence de mécanisme de succession."

Suivait une liste de cinq dirigeants dont la mort pourraient créer une grave crise : Paul Biya au Cameroun ; Idriss Déby au Tchad ; Nursultan Nazarbayev au Kazakhstan ; Isaias Afwerki en Erythrée et Hun Sen au Cambodge ; et donc d'abord et avant tout Abdelaziz Bouteflika.

Quatre raisons à cela :

l'Algérie est l'un des principaux fournisseurs d'énergie de la France (10% du gaz importé) ;
en cas de déstabilisation profonde du pays, des centaines de milliers de jeunes (les moins de 20 ans représentent la moitié des 42 millions d'Algériens) pourraient tenter de rejoindre la France par tous les moyens, y compris avec des bateaux de fortune, ce qui, à l'évidence, poserait un défi politique majeur au gouvernement français ;
d'autant que l'immigration algérienne en France et sa descendance est nombreuse et attentive à ce qui se passe de l'autre côté de la Méditerranée ;
enfin, la précédente crise politique algérienne à la fin des années 1980 a ouvert la voie aux djihadistes qui ont semé la terreur dans le pays pendant une décennie et menacé la France à plusieurs reprises. Autant de perspectives qui évidemment inquiètent Emmanuel Macron au plus haut point.

Vincent Jauvert

Source
 
L'Algérie, le cauchemar de Macron

C'était début février. Nous demandions à un haut responsable français ce qui inquiétait le plus Emmanuel Macron. Une nouvelle crise financière ? Une cyberattaque massive des Russes ? Des frappes américaines sur l'Iran ? "Vous n'y êtes pas", a répondu ce personnage central de la macronie. "Le cauchemar du président de la République, c'est l'Algérie. C'était aussi celui de ses prédécesseurs. Les plus hautes autorités de l'Etat sont terrifiées par la perspective d'une grave déstabilisation de notre ancienne colonie après la mort de Bouteflika [président depuis 1999]."

Cette confidence date de plusieurs jours avant les manifestations de la jeunesse algérienne contre un cinquième mandat du président grabataire. On imagine donc aisément qu'aujourd'hui l'Algérie est plus que jamais le sujet numéro un des préoccupations de l'Elysée. Une grave crise politique dans ce pays si proche – à la suite d'une révolte de la jeunesse et/ou d'une disparition de son président – risque, en effet, de poser des problèmes considérables à la France.

En 2014, déjà, un document confidentiel du Centre d'analyse, de prévision et de stratégie du Quai d'Orsay s'intéressait à la "nécrologie prospective" (sic) représentant une menace pour la France : "La mort d'un dirigeant, était-il écrit dans cette note du 2 décembre 2014 adressée au ministre Laurent Fabius et à laquelle nous avons eu accès, n'est pas forcément source de crise, mais plusieurs pays présentent une fragilité particulière lorsqu'ils réunissent les trois facteurs suivants : l'âge avancé du dirigeant ; la concentration excessive du pouvoir ; l'absence de mécanisme de succession."

Suivait une liste de cinq dirigeants dont la mort pourraient créer une grave crise : Paul Biya au Cameroun ; Idriss Déby au Tchad ; Nursultan Nazarbayev au Kazakhstan ; Isaias Afwerki en Erythrée et Hun Sen au Cambodge ; et donc d'abord et avant tout Abdelaziz Bouteflika.

Quatre raisons à cela :

l'Algérie est l'un des principaux fournisseurs d'énergie de la France (10% du gaz importé) ;
en cas de déstabilisation profonde du pays, des centaines de milliers de jeunes (les moins de 20 ans représentent la moitié des 42 millions d'Algériens) pourraient tenter de rejoindre la France par tous les moyens, y compris avec des bateaux de fortune, ce qui, à l'évidence, poserait un défi politique majeur au gouvernement français ;
d'autant que l'immigration algérienne en France et sa descendance est nombreuse et attentive à ce qui se passe de l'autre côté de la Méditerranée ;
enfin, la précédente crise politique algérienne à la fin des années 1980 a ouvert la voie aux djihadistes qui ont semé la terreur dans le pays pendant une décennie et menacé la France à plusieurs reprises. Autant de perspectives qui évidemment inquiètent Emmanuel Macron au plus haut point.

Vincent Jauvert

Source

Bonjour, je peux appeler ça du "n'importe quoi "........ pfffffffff Zitna fi dkikna comme on dis chez nous .......
 
Les "pôvres" ils s'inquiètent pour l'Algérie.Ils étaient ou pendant la décennie noire quand l'armée Algérienne réclamait des armes notamment de visée nocturne ? A oui c'est vrais ils imposaient un embargo.Il me semble que "termite errante" à l'époque avait dit que c'était une guerre civile et qu'il ne voulait pas s'en mêler.Lui l'humaniste qui avait utilisé la guillotine en Algérie pendant la guerre de libération.
Ont-ils peur du retour du terrorisme à leur porte ?
Ou simplement ont-il peur de régulariser des milliers d'Algériens qui réclameraient l'asile politique en France en cas de débordement ?
A suivre.....
 
C'est surtout que la grille de lecture de ce Vincent Jauvert est totalement foireuse...

La "crise" politique actuelle résulte surtout de la connivence voulue et entretenue entre Hollande et la clique actuelle au pouvoir en Algérie, Said Bouteflika s'efforçant de jouer les "facilitateurs" et d'encourager la France a d'avantage prendre pied au niveau économique pour lier leur sort commun, au lieu de s’émanciper et de voler de ses propres ailes...

Fort du "soutien" du pouvoir français, cette clique de mafieux se sent désormais intouchable et c'est le pourquoi, d'un 5ème mandat totalement aberrant.

- - - Mise à jour - - -

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Algérie : ce que révèlent les archives secrètes de la France sur Bouteflika

Suffit de demander ;)


 
Bonjour,

C'est du bla bla de journaleux.....!La réponse viendra du soulèvement de la jeunesse algérienne.
 
C est 2019......si ont sort des trucs qui datent de bien si longtemps et sourtout dans se contexte alors je dirai c est l intox. desinformation

C' est 2019
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" Un jour la parole reviendra au peuple, même si la nuit semble longue, le jour et le soleil finiront par se lever "


H.Ait Ahmed

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https://www.youtube.com/watch?v=D8JK1a1neSU


 
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D.R
Le Président de la république, Abdelaziz Bouteflika, candidat à l’élection présidentielle du 18 avril a rendu publique hier sa déclaration du patrimoine dont ci-joint le texte intégral.
« Je soussigné, Abdelaziz Bouteflika, Président de la République, demeurant au 135n Rue Cheikh El Bachir El Ibrahimi, El Biar, Alger, candidat à l’élection de la Présidence de la république, prévue le 18 avril 2019, en application de l’article 139-16 de la Loi organique N°16-10 du 22 Dhou el Kaada 1437, correspondant au 25 août 2016, relative au régime électoral, déclare être propriétaire des biens ci-après :

I.- Biens immobiliers :
1. Une maison individuelle sise à Sidi Fredj (commune de Staouéli), suivant acte enregistré sous le n° 226 du 11.11.1987.
2. Une maison individuelle sise Rue de la Rochelle, Alger, suivant livret foncier n° 7068/07 du 11.12.2007.
3. Un appartement sis au 135, Rue Cheikh Bachir El Ibrahimi, El Biar, Alger, suivant livret foncier n° 2939/07 du 26.06.2007.

II.- Biens mobiliers :
Deux (02) véhicules particuliers.
Et déclare n’être propriétaire d’aucun bien à l’intérieur du pays ou à l’étranger.
Alger, dimanche 27 Djoumada el Oula 1440, correspondant au 3 février 2019.
Signé Abdelaziz BOUTEFLIKA».



Source elmoudjahid


encore un "pôvre" SDF Algérien .
Allez les banques Suisses éclairez-nous!
 
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