L'Algérie et le Liban pensent aussi à interdire le Blackberry

REDPILL

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30/4/09
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Blackberry passe réellement un très mauvais été. La fronde de pays contre ses smartphones continue avec deux nouveaux états qui veulent connaître un peu plus les méthodes du canadien pour transférer les données sur ses serveurs. Après les Emirats arabes Unis, le Koweït, l'Arabie Saoudite, l'Inde et même
l'Union Européenne , c'est au tour de l'Algérie et du Liban de montrer les dents.


Le gouvernement algérien a indiqué qu'il souhaitait « évaluer l'utilisation des téléphones Blackberry » afin d'éventuellement les interdire, encore une fois, pour des motifs de « sécurité nationale ». Même si le smartphone est encore peu répandu dans le pays, une source proche du gouvernement aurait déclaré que l'interdiction du téléphone était « très probable »
.

De son côté, le Liban est moins sévère dans sa critique et explique qu'il compte mettre en place prochainement un programme national pour autoriser ou non l'Etat à accéder aux informations qui transitent via les appareils de la marque RIM. Ici aussi, il est question de sécurité nationale pour invoquer un tel contrôle des données.

Le point commun entre ces deux Etats est qu'ils sont aux prises avec des mouvements terroristes et avec des émanations régionales du Hamas ou même de la nébuleuse Al-Quaida. Ces pays tiennent donc à limiter tous les risques de sécurité à l'intérieur de leurs frontières.
 
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