La grande campagne pour connaître l'identité du FIFA Ballon d'Or 2011 s'ouvre donc ce mardi, avec la révélation de la liste des 23 joueurs nommés, établie conjointement par France Football et la FIFA (photo Presse-Sports). Comme chaque année à pareille époque, la discussion promet d'être enflammée entre tous les passionnés de football, chacun défendant avec enthousiasme (souvent), mauvaise foi (parfois) son principal favori pour l'attribution du titre de meilleur joueur. C'est un vrai sport que celui qui consiste à isoler un individu de la masse, pour en faire le roi du monde !
Créé par notre journal, le trophée individuel le plus prestigieux de la planète football vit sa vie impétueuse depuis le 18 décembre 1956, quand fut connu le nom de son premier lauréat, Stanley Matthews, un an après que fut portée sur les fonts baptismaux la Coupe d'Europe des clubs dont le trophée de France Football était d'ailleurs une sorte de descendant naturel.
Un palmarès de très haut vol
C'est sur ces fondations que le Ballon d'Or trouva sa place sans tarder dans le paysage, et qu'il voyage avec allégresse depuis cinquante-cinq ans par-delà les époques. De 1956 à 1994, il fut octroyé aux seuls représentants de l'Europe, ceux-ci soumis au vote d'un collège de journalistes internationaux. A partir de 1995, les meilleurs Africains, Américains, Asiatiques et Océaniens ont été réglementairement en mesure de concourir. Un changement considérable qui le fit entrer dans le monde «planétisé» de la fin du XXe siècle.
Depuis 2010, le Ballon d'Or connaît une nouvelle phase de son histoire par le biais d'un partenariat conclu avec la FIFA, qui a abandonné du même coup son «FIFA World Player». Voilà une forme de reconnaissance dont nous sommes fiers. Fiers de l'oeuvre jusqu'à présent accomplie, et bien déterminés à la poursuivre. La distribution finale, telle que la liste des 23 la révèle, ne manque ni de classe ni d'allure. Elle accouchera, n'en doutons pas, d'un éminent vainqueur en 2011, qui renforcera encore un palmarès de très haut vol.
Créé par notre journal, le trophée individuel le plus prestigieux de la planète football vit sa vie impétueuse depuis le 18 décembre 1956, quand fut connu le nom de son premier lauréat, Stanley Matthews, un an après que fut portée sur les fonts baptismaux la Coupe d'Europe des clubs dont le trophée de France Football était d'ailleurs une sorte de descendant naturel.
Un palmarès de très haut vol
C'est sur ces fondations que le Ballon d'Or trouva sa place sans tarder dans le paysage, et qu'il voyage avec allégresse depuis cinquante-cinq ans par-delà les époques. De 1956 à 1994, il fut octroyé aux seuls représentants de l'Europe, ceux-ci soumis au vote d'un collège de journalistes internationaux. A partir de 1995, les meilleurs Africains, Américains, Asiatiques et Océaniens ont été réglementairement en mesure de concourir. Un changement considérable qui le fit entrer dans le monde «planétisé» de la fin du XXe siècle.
Depuis 2010, le Ballon d'Or connaît une nouvelle phase de son histoire par le biais d'un partenariat conclu avec la FIFA, qui a abandonné du même coup son «FIFA World Player». Voilà une forme de reconnaissance dont nous sommes fiers. Fiers de l'oeuvre jusqu'à présent accomplie, et bien déterminés à la poursuivre. La distribution finale, telle que la liste des 23 la révèle, ne manque ni de classe ni d'allure. Elle accouchera, n'en doutons pas, d'un éminent vainqueur en 2011, qui renforcera encore un palmarès de très haut vol.
