histoires

J'imagine ce qu'il a dû endurer le pauvre...

George McLaurin est le premier homme Noir admis à l'université d'Oklahoma en 1948 , il a été contraint de s'asseoir dans un coin éloigné de ses camarades blancs , mais son nom est resté sur le tableau d'honneur en tant qu'un des trois meilleurs étudiants de l'université.

Voici ses mots: "Certains collègues me regardaient comme si j'étais un animal , personne ne m’adressait la parole , les professeurs ne semblaient même pas être là pour moi, ils ne répondaient jamais à mes questions lorsque je leur en posais.
Mais j’étais tellement dévoué (a ma tâche) qu'après ils ont commencé a me chercher pour leur donner des explications et clarifications par rapport à leurs préoccupations. "

Comme quoi , peu importe l'adversité et les obstacles , si nous sommes déterminés a réussir, on y parvient toujours.

Que l'histoire de George McLaurin soit une leçon pour nous. Nous ne devons rien lâcher malgré les difficultés de la vie.

Voir la pièce jointe 91830
 
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George Stinney Jr, d’origine africaine fut la plus jeune personne à avoir été exécuté au 20ème siècle aux Etats-unis.

Ce jeune Noir n’avait que 14 ans au moment de son exécution par chaise électrique.
70 ans plus tard, son innocence vient d'être officiellement reconnue par un juge de la Caroline du sud.

De son procès jusqu’à la salle d'exécution, le jeune garçon clamait toujours son innocence.
George fut injustement accusé du meurtre de deux filles Blanches (Betty 11 ans et Mary 7 ans), dont les corps avaient été retrouvés non loin de la maison où habitait le jeune garçon et ses parents. À cette époque, tous les membres du jury étaient de race blanche. Le procès ne dura que 10 minutes.
Les parents du jeune garçon, menacés, furent interdits de prendre part au procès, après avoir reçu l'ordre de quitter la ville.
Avant son procès, George fit 81 jours de détention sans possibilité de voir ses parents pour la dernière fois.
Il fut emprisonné seul dans sa cellule, à 80 kilometres de sa ville natale.

La charge d'électrocution du jeune George était de 5.380 volts sur sa tête. Nous vous laissons imaginer ce qu'une telle décharge électrique peut avoir comme effet sur la tête d'un jeune enfant.
 
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George Stinney Jr, d’origine africaine fut la plus jeune personne à avoir été exécuté au 20ème siècle aux Etats-unis.

Ce jeune Noir n’avait que 14 ans au moment de son exécution par chaise électrique.
70 ans plus tard, son innocence vient d'être officiellement reconnue par un juge de la Caroline du sud.

De son procès jusqu’à la salle d'exécution, le jeune garçon clamait toujours son innocence.
George fut injustement accusé du meurtre de deux filles Blanches (Betty 11 ans et Mary 7 ans), dont les corps avaient été retrouvés non loin de la maison où habitait le jeune garçon et ses parents. À cette époque, tous les membres du jury étaient de race blanche. Le procès ne dura que 10 minutes.
Les parents du jeune garçon, menacés, furent interdits de prendre part au procès, après avoir reçu l'ordre de quitter la ville.
Avant son procès, George fit 81 jours de détention sans possibilité de voir ses parents pour la dernière fois.
Il fut emprisonné seul dans sa cellule, à 80 kilometres de sa ville natale.

La charge d'électrocution du jeune George était de 5.380 volts sur sa tête. Nous vous laissons imaginer ce qu'une telle décharge électrique peut avoir comme effet sur la tête d'un jeune enfant.

C'est terrible!

Allahi yarhamouh mesquin...
 
Lorsque les militaires boliviens parvinrent à* débusquer Ché Guevara de sa cachette grâce au renseignement d'un berger,* ils demandèrent à ce dernier:" Pour quoi avoir dénoncé un homme qui se sacrifiait pourtant pour votre liberté et votre bien-être ?"
Le berger:" je l'ai dénoncé parce que le crépitement des armes font peur à mes animaux en pâture" repondit-il !
Lorsque Mohamed Karim, en l'occurrence l'égyptien qui entreprit de résister contre l'assaut d'Alexandrie lancé par Napoléon, fut* arrêté par l'armée et condamné à la peine capitale, Napoléon lui fit appel et lui dit: "J'ai de la peine à exécuter un homme qui a défendu vaillamment son pays, je ne souhaiterai pas* que l'Histoire retienne de moi, l'image d'une personne qui étouffe l'élan des patriotes à défendre l'intégrité de leurs patries, ainsi, je te promets la liberté si tu payes dix mille pièces d'or à titre de compensation financière à mes soldats que la résistance* a tué ", tout souriant, Mohamed Karim répondit : "Je n'ai pas la totalité de la somme demandée sur moi, mais je suis redevable de plus 100 mille pièces d'or aux commerçants d'Alexandrie, ils payeront à coup sûr, cette amende, afin que j'ai la vie sauve ! "

Enchaîné, il fut conduit au marché d'Alexandrie pour le tour des comptoirs en quête de la somme dont dépendra sa liberté. Mais, à* sa grande surprise, aucun commerçant ne s'appitoya sur son sort, pire, les indigènes l'accusèrent de fauteur de troubles, de destructeur de biens, et d'atteinte à la vitalité économique de la ville portuaire d'Alexandrie! "*

Napoléon, au vu de la rénegation des siens à son égard, déclara: " Je concederai que l'on mette la sentence de peine capitale en exécution pas parce que tu as tué* mes soldats, mais pour avoir lutté pour des personnes lâches, qui comptent plus sur leur commerce que sur leur intégrité ! "

Mohamed Rachid Rida, Reformateur Arabe Syrien* disait: "Se révolter pour le compte d'un peuple ignorant, revient à* s'immoler par le feu pour éclairer le chemin à un aveugle !"

À méditer et à partager pour* bien comprendre l'ingratitude de la société qui est prête à nier sans honte ses engagements, ses convictions et ses valeurs...


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Yamada Torajirō est un maître de thé et homme d'affaires japonais mais aussi et surtout l'un des premiers de son peuple à avoir embrassé l'Islam. Arrivé à Istanbul en 1892 dans le but de remettre des dons aux familles des victimes du naufrage de l'Ertuğrul (un navire ottoman ayant échoué au large du Japon), il y restera 22 ans.

Converti à l'Islam sous le nom d'« Abd al-Khalil », il est l'une des premières personnes japonaises à effectuer cette démarche et à faire le pèlerinage à La Mecque depuis Kōtarō Yamaoka en 1909.
En 1307H (1890), un terrible fait divers frappe les côtes du Japon : l’Ertuğrul, une imposante frégatede la marine ottomane s’échoue après avoir été frappée par un typhon au large du Japon. Alors qu’ils retournaient d’une visite de courtoisie au pays du soleil levant, les passagers périrent presque tous lors de l’incident. On comptera 533 défunts parmi les marins à bord, y compris l’amiral ʿAlī Osman Pasha. Les autorités japonaises vont alors tout entreprendre afin de sauver ceux qui pouvaient l’être et loger les rescapés sur l’île. L’amitié turco-japonaise était née.
Un homme participe alors à la campagne visant à venir en aide aux familles des victimes : Yamada Torajirō. Issu d’une famille samouraï de haut rang ayant déménagé à Tokyo, il est un lettré polyglotte (il parle le chinois, l’anglais, l’allemand, et le français) et un fameux maître de thé. Repéré par le ministre des Affaires étrangères, on lui conseille alors de se rendre de lui-même dans l’Empire ottoman afin de remettre les dons aux familles des victimes du naufrage de l’Ertuğrul. On parle alors de l’équivalent de plusieurs dizaines de millions d’euros.

Les préparatifs faits, il embarque part pour Istanbul le 30 janvier 1892 à bord d’un navire britannique en compagnie de Nakamura Kenjirō, un ancien officier de la marine avec qui il songe à faire commerce en terre d’Islam. Arrivé à Istanbul deux mois plus tard, Yamada Torajirō est émerveillé de ce qu’il entrevoit. À la croisée des influences, la capitale de l’Empire ottoman est le point de ralliement des arts et cultures européennes, turques et plus largement islamiques; le choc visuel est conséquent pour le Japonais. Accueilli en grande pompe, il est reçu dans un premier temps par le ministre des Affaires étrangères Mehmed Said Pasha à qui il confie l’argent des dons. Au sultan Abdülhamid II, l’envoyé japonais offre des biens de sa famille, des plantes rares venues tout droit du pays du soleil levant et surtout, une somptueuse armure de samouraï, un casque et une épée d’époque. À la demande du sultan, Yamada Torajirō est convié à rester deux années complètes afin d’enseigner le japonais à des cadets de l’armée. Il y restera vingt-deux ans.

S’il retourne brièvement au Japon en 1310H (1893), ce n’est que pour offrir une conférence au séminaire de l’association coloniale japonaise sur l’Empire ottoman et l’Égypte, invitant ainsi les Japonais présents à réfléchir à étendre leur réseau commercial en pays musulman. Revenu à Istanbul dans la foulée, il y fonde avec son confrère Nakamura le Nakamura Shoten, un commerce où les deux hommes obtiennent des autorités le droit de vendre des produits japonais. Il y propose de la soie, de la porcelaine, mais aussi et surtout du thé, le coeur de son métier. Le succès toque à leur porte; le sultan et les membres de la haute société ottomane apprécient particulièrement les produits japonais. La mode à la japonaise débarque dans les rues de la capitale califale. En 1324H (1906), Yamada continue dans sa lancée et établit un partenariat turco-japonais afin de démarrer la fabrique de papier à cigarettes.

En parallèle, il publie un nombre conséquent articles sur les Turcs et l’Empire ottoman dans certaines des plus célèbres revues japonaises, essentiellement portés sur l’économie. Il crée plusieurs associations visant à promouvoir les échanges économiques entre les deux Empires. Dans un autre registre, il traduit encore des pièces de théâtre turques, notamment un classique joué durant le mois du ramadan : Dağlı Kız (La Fille de la montagne). Il sera également l’auteur d’ouvrages qui feront date. Son Kaikyōen ouvra ainsi la voie de l’islamologie japonaise quand son Toruko Gakan est peut-être son oeuvre la plus appréciée. Fait de dessins et sketchs, l’ouvrage est une véritable représentation illustrée de l’Empire ottoman du début du 20e siècle.

En 1322H (1904), au moment de la guerre russo-japonaise, le gouvernement japonais lui intime de surveiller secrètement le Bosphore afin de rendre compte des mouvements navals russes. La victoire japonaise dans le conflit un an plus tard ne va d’ailleurs faire que rapprocher davantage les deux empires. En parallèle à ses activités commerciales, Yamada servait aussi de consul honoraire aux Japonais de passage. Il arrangeait les mariages interethniques ou aidait les uns et les autres dans leurs prises de rendez-vous avec des personnages de la haute société ottomane.

Il sera là lors de la montée des Jeunes Turcs (qu’il perçoit à l’époque d’un bon oeil et qu’il compare à l’éveil nationaliste japonais du 19e siècle) au pouvoir à partir de 1326H (1908). C’est le déclenchement en 1914 de la Première Guerre mondiale qui le pousse à revenir au Japon. Sur le retour, Yamada fait une escale en Arabie afin d’accomplir son pèlerinage à La Mecque. Car l’homme n’est pas seulement un amoureux de la culture ottomane, il a aussi depuis plusieurs années embrassé l’islam. Ces confrères turcs l’appellent d’ailleurs ‘Abd al-Khalīl. Il ne retournera dans ce qui est alors devenu la Turquie qu’en 1350H (1931). Il y fait par ailleurs la rencontre de l’un de ses anciens élèves de classe de japonais : le président Kemal Atatürk.

Il meurt en 1376H (1957) après avoir publié une autobiographie intitulée Shingetsu. L’armure de samouraï qu’il avait offerte au sultan Abdülhamid II est depuis exposée au palais de Topkapi quand un amphithéâtre du Jardin botanique Nezahat Gökyiğit d’Istanbul porte encore son nom. Il était devenu le premier expert japonais du peuple turc, l’instigateur du rapprochement turco-japonais et l’un des tout premiers de son peuple à s’être fait musulman.


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La révolte de Bahia, ou le rêve d’un califat en Amérique


En 1250 de l’hégire (1835), le Brésil connu l’un des événements civils les plus emblématiques de son histoire : la révolte de Bahia. Armés, des centaines d’esclaves venus d’Afrique avaient alors cherché à renverser le pouvoir blanc d’époque. Musulmans, les mutins avaient un plan en tête : se recréer une terre d’Islam en pleine Amérique.


Au 19e siècle chrétien, Bahia est une cité prospère où les Portugais profitent de la main-d’œuvre permise par la pratique de l’esclavage. Issus des côtes de l’Ouest-africain, les esclaves sont à Bahia très nombreux, si nombreux que leur population dépasse même celle des Européens. Animistes, ils sont le plus souvent des captifs de guerre revendus à des négriers par les belligérants musulmans de l’Afrique noire. Certains sont pourtant des musulmans, ou au moins des Africains islamisés, qui dans le cadre de la guerre au pays s’étaient retrouvés du mauvais côté de la barrière. Nombre d’entre eux avaient notamment été dans les armées ayant résisté à la fulgurante montée du califat Sokoto établi par le très fameux imam et combattant Usman Dan Fodio.

Si leur religion est interdite, on sait cependant leur assigner les tâches les moins ingrates. Lettrés et souvent plus éduqués que leurs confrères animistes, les esclaves musulmans jouissent ici et là du droit à gérer d’autres esclaves et ont même l’accord des maîtres pour cultiver des terres assignées desquelles ils peuvent tirer quelques revenus. À la différence de ce qu’il se passe plus au nord sur le continent, les esclaves de Bahia peuvent aussi le plus souvent aller et venir dans les rues et les commerces sans trop d’entraves. C’est cette semi-liberté qui allait justement permettre aux concernés de mieux préparer leur coup. À l’écoute des dires de leurs maîtres et passants, les Malês (tel qu’ils étaient appelés/un terme voulant signifier musulman en Afrique de l’Ouest) avaient compris que le pouvoir brésilien vacillait : la régence assurée depuis 1246H (1831) par un certain Pedro II, alors qu’un enfant suscitait la colère et la réprobation de tous.

C’est ainsi que ces esclaves avaient décidé de tenter un coup d’État à l’entrée du mois de Ramadan de la même année. Mais le jour J, à peine ont-ils eu le temps de se décider à sortir de leurs cabanons que la police locale était là prête à les cueillir. Ils sont arrêtés par dizaines, quand d’autres sont tués sur le champ faute d’avoir résisté. Ils ont en fait été dénoncés par un traître, arrêté la veille. D’autres Malês ont cependant pu fuir, lançant une attaque improvisée contre la prison de la Praça Municipal, là où étaient détenus nombre de leurs comparses. Repoussés par l’armée, ils vont, en trouvant refuge dans la basse ville, se livrer à un sanglant combat qui allait durer trois jours. Acculés, les Malês finissent par se rendre. Sur les 500 Malês qui se sont battus, 70 sont morts, une partie a déserté, quand tous les autres sont arrêtés et placés en détention. Certains sont flagellés et même, renvoyés en Afrique pour y être revendus à d’autres négriers. 16, identifiés comme des meneurs, sont condamnés à mort. Si les Malês n’ont rien gagné – un couvre-feu est installé pour les Noirs et leurs déplacements sont limités – leur révolte marque par contre le début du mouvement abolitionniste brésilien. L’esclavage sera aboli 53 ans plus tard.

Sauf la traîtrise de l’un d’eux, la révolte aurait pu très bien aboutir tant leur organisation est restée très secrète. Opérant par petits groupes, les Malês ont minutieusement préparé leurs plans durant des mois, se procurant ici et là des armes. Il faut dire que depuis trente ans, plusieurs groupes de Malês avaient déjà tenté de se rebeller, en vain. Les Malês de la révolte de 1835 avaient donc pris bien plus de précautions. Communiquant par petits billets et en arabe qu’ils faisaient passer pour des amulettes, l’idée était alors de prendre les forts et les garnisons militaires puis le contrôle de la ville. Enfin, il était question de prendre pour esclaves les blancs, les métis, et même, les autres esclaves ne professant pas l’islam. Dans les faits et les dires de certains Malês arrêtés, il était en effet question d’établir un véritable territoire indépendant sur Bahia, une sorte d’enclave islamique en Amérique. Utopique, le projet sera non seulement empêché, mais c’est l’islamité même des concernés qui va finir par se dissiper. Les Malês n’auront en effet que rarement l’occasion de permettre à leur descendance une éducation musulmane en bonne et due forme. Baptisées et/ou éloignées de leurs foyers, les générations successives vont se fondre dans les masses.

Des traces ont cependant subsisté. A Bahia et autour, si les locaux portent pour beaucoup, encore aujourd’hui, du blanc le vendredi, ce n’est pas en référence à une quelconque pratique animiste ou locale, mais bien dû aux habitudes passées des Malês qui s’habillaient ainsi déjà en Afrique les jours de prière commune à la mosquée.

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Hammam Meskhoutine



Hammam El Maskhoutine (le bain des damnés), l’un des plus beaux, des plus attirants bains romains encore en activité, n’a jamais cessé de susciter moult légendes et maintes histoires…




Hammam Meskhoutine (bain des damnés – حمام المسخوطين) se situe à 15 km de la ville de Guelma au nord-est de l’Algérie et est une des nombreuses stations thermales de cette région. Sous l’occupation Romaine, la ville s’appelait Aquae Thiblitanae.

Le nom du site vient de la légende de Hammam Meskhoutine :
Il y a de cela très très longtemps vivait dans cette belle région de l’Algérie, une tribu puissante et redoutée dans tout le pays. Enfant déjà, le héros de l’histoire s’illustre par son intelligence et sa supériorité dans le jeu avec les autres petits enfants de son âge. Homme, il devient le cavalier le plus valeureux de toute la tribu et de tout le pays. Rien ne paraissait pouvoir l’arrêter. Il avait une sœur qui aussi était la plus belle femme qu’on ait jamais vue dans toute la région et même dans tout le pays.
Le jour vint où notre cavalier voulut aimer une femme. Il n’en trouva point à son goût. La seule qui lui plut fut sa propre sœur, laquelle ne s’opposa pas à cette idée. Les gens scandalisés crièrent au sacrilège. Les sages dénoncèrent avec véhémence cette nouvelle profanation … et voulurent l’en dissuader et l’appeler à la raison …
Le cavalier persista dans son entreprise et organisa la fête de mariage qui fut célébrée sur la plus belle colline de toute la vallée. Beaucoup ne voulant pas assister à ce mariage incestueux quittèrent les lieux. Quelques-uns choisirent le camp du puissant guerrier qui trouva même un Cadi (juge) pour officialiser son union … et la fête commença … Les habitants de la région, enfuis, ne revinrent à cet endroit qu’un certain temps après cet « événement ». Ils se trouvèrent devant une scène effrayante : les mariés furent pétrifiés au moment où ils allèrent officialiser leur union, ainsi que tous leurs invités, le Cadi corrompu voulant prendre la fuite le fut à son tour à quelques lieues de là …
Cette effroyable scène se tient de nos jours au même endroit, les mariés sont toujours là se regardant, les invités discutant et écoutant de la musique, le juge s’enfuyant sur la montagne d’en face … tous changés en pierre… pour rester une leçon pour l’éternité.
Seulement, il faut croire aussi que l’humanité est le fruit de l’inceste, puisque sa descendance est proclamée d’un seul couple Adam et Eve.
Pourquoi avoir changé le nom du site Hammam Meskhoutine en Hammam Dbagh ?

 
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un peu d’histoire,
Les coccinelles sont appelées familièrement «les bêtes à bon Dieu». Ce surnom est tiré d’une légende remontant au Xe siècle.
Condamné à mort pour un meurtre commis à Paris, un homme, qui clamait son innocence, a dû son salut à la présence du petit insecte. En effet, le jour de son exécution publique, le condamné devait avoir la tête tranchée. Mais une coccinelle se posa sur son cou.
Le bourreau tenta de l’enlever, mais le coléoptère revint à plusieurs reprises se placer au même endroit. Le roi Robert II (972-1031) y vit alors une intervention divine et décida de gracier l’homme.
Quelques jours plus tard, le vrai meutrier fut retrouvé. Cette histoire s’est très vite répandue et la coccinelle fut dès lors considérée comme un porte-bonheur qu’il ne fallait pas écraser.

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En plus elle est utile puisqu'elle débarrasse les plantes des pucerons qui les infestent.
In english: ladybud
 
Le henné est un mode vecteur des cultures ancrées dans les traditions et coutumes de l’Afrique du Nord et reste le produit cosmétique le plus employé dans la région. Utilisé dans les traditions musulmanes, lors de mariages, circoncisions et fêtes religieuses, comme les Aïds, Achoura et autres circonstances, il a su occuper une place de choix. Mis à part les fêtes religieuses, le henné est utilisé pour sublimer la beauté de la femme, pour la protéger contre le mauvais œil ou encore comme porte-bonheur.


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Dernière édition:
Un laboureur, sur le point de terminer sa vie, voulut que ses enfants acquissent de l’expérience en agriculture. Il les fit venir et leur dit : « Mes enfants, je vais quitter ce monde ; mais vous, cherchez ce que j’ai caché dans ma vigne, et vous trouverez tout. » Les enfants s’imaginant qu’il y avait enfoui un trésor en quelque coin, bêchèrent profondément tout le sol de la vigne après la mort du père. De trésor, ils n’en trouvèrent point ; mais la vigne bien remuée donna son fruit au centuple.
Cette fable montre que le travail est pour les hommes un trésor.(la fontaine)

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Née un matin de décembre 1931 à Borj el-Kiffan, à l’est d’Alger, Baya Mahieddine – de son vrai nom Fatma Haddad – perd ses parents à l’âge de cinq ans, mais trouve en Marguerite Camina Benhoura, intellectuelle française, une nouvelle mère. Une mère qui a compris son potentiel artistique et l’a encouragé à exploiter son talent en poursuivant des études d’art….


En dépit de son très jeune âge (13 ans) Baya dessine, peint, sculpte des paons bariolés, des femmes fées ou des fleurs, des oiseaux multicolores qui voisinent avec les raïtas, les harpes et les guitares de la fête…
Ahkili ala zamane revient sur le parcours exceptionnel de Baya Mahieddine, la charmeuse de Picasso et Matisse :


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UBUNTU!!
Un anthropologue a proposé un jeu aux enfants d'une tribu d'Afrique Australe.
Il a posé un panier plein de fruits sucrés près d'un arbre et a dit aux enfants que celui qui arriverait le premier gagnerait tous les fruits.
Quand il leur a dit de courir, tous les enfants se sont élancés en même temps ...... en se donnant la main !!
Puis ils se sont assis ensemble pour profiter de ces bons fruits.
Lorsque l'anthropologue leur a demandé pourquoi ils avaient couru ainsi alors que l'un d'entre eux aurait pu avoir tous les fruits pour lui tout seul, ils ont répondu :

"UBUNTU.
Comment l'un d'entre nous peut-il être heureux si tous les autres sont tristes ?"

UBUNTU dans la culture Xhosa d'Afrique Australe signifie :
"Je suis parce que Nous sommes."

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Un fils mit sa mère dans une maison de retraite, et lui rendit visite de temps en temps...
Un jour il reçoit un appel de la maison de retraite, lui disant que sa maman était en train de mourir... Arrivé là, il a demandé à sa mère..:
« Que veux-tu que je fasse pour toi, maman ? Triste, la maman répond...:
«Sème de l'amour..
Je veux que tu fasses mettre les ventilateurs dans l'hospice, parce qu'il n'y en a pas ici et la chaleur est insupportable,
Je veux que tu achètes aussi des frigidaires pour que la nourriture ne se gâche pas.
Plusieurs nuits je suis allée au lit sans avoir rien mangé...»

Le fils surpris répond:
«Mais maintenant tu me demandes ça alors que tu es en train de mourir, pourquoi tu ne me l'as jamais dit avant ?»
La mère répondit triste :
« Je me suis habituée à vivre avec la faim et la chaleur, mais ma peur est que tu ne puisses pas t'y habituer, quand tes enfants ne prendront plus soin de toi et t'enverront ici, quand tu seras vieux !!

N'oublie pas :

Tout ce que tu fais dans la vie...
Te sera renvoyé !
 
Le vieil homme réfléchit
Assis face à la mer
Il voit son Algérie
Coeur sanglant sur la terre
Il a les larmes aux yeux
Marseille s’est endormie
Il vague comme il peut
Son bateau c’est l’esprit

Sa vieille djellaba
Il l’a toujours portée
Comme ton costume de soie
Ton jean’s délavé
Et quand il a souffert
Aux rires des imbéciles
Son visage Berbère
Parlait toujours kabyle

Surtout ne l’oublie pas
Car tu es né de lui
Dans ta banlieue p’tit gars
Si un jour tu l’oublies
Tu auras tout perdu
Ton père, ta mère, ta terre,
Et si tu n’en peux plus
Repense à ton grand père.

Il est venu ici
Travailler pour le pain
Ses nuits, ses insomnies,
Ses soucis quotidiens
Sa vieille djellaba
Elle les connait par coeur
Il venait de là-bas
Il pleurait comme tu pleures

Quand je dis il pleurait
Il pleurait comme la pluie
Je veux dire il disait
Tout ce qu’on a pas dit
Travailler pour le pain
S’éteindre de fatigue
Ton grand père comme le mien
Reste le meilleur guide.

La vieille djellaba
Toujours contre sa peau
Tu n’es pas de là-bas
Mais tu es de sa peau
Et les yeux du vieil homme
Tendus vers l’horizon
Ont le regard du gone
Qui écrit cette chanson.

Je veux dire en cela
Ouvrez tout grand vos yeux
La vieille djellaba
Ecorce du Bon Dieu
C’est l’amour d’un soldat
Qui déteste la guerre
C’est ton coeur quand il bat
C’est l’âme de ton grand père

S’il vous plait messieurs dames
Arrêtez de mentir
Mourir n’est pas un drame
S’exiler c’est mourir
Le mot intégration
Est un mot de raciste
Cette Terre c’est ton nom
Ta joie et ton supplice.

Et ne l’oublie jamais
Ce vieux en djellaba
Il est porte-secret
Il est ton vrai combat
Moi qui suis né d’ici
Qui m’en vais voir ailleurs
Je porte son Algérie
Comme on offre une fleur.

P’tit gars dans ta banlieue
N’oublie pas ton histoire
Un jour on devient vieux
Un jour il se fait tard
La vieille djellaba
C’est tes yeux merveilleux
N’oublie pas petit gars
Tu es l’eau et le feu.

Et le vieil homme se lève
Tourne le dos à la mer
Marseille se réveille.
Il commence à se taire.
La vieille djellaba
Portée par le soleil
Le ciel de haut en bas
S’éclaire d'un arc en ciel

Surtout ne l’oublie pas
Surtout ne l’oublie pas
Surtout ne l’oublie pas

J.M. Le Bihan


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Fawzia ZOUARI, écrivaine, journaliste tunisienne, docteur en littérature française et comparée de la Sorbonne a publié cet article raz-le-bol dans "Jeune Afrique" :

" - Il y a des jours où je regrette d’être née arabe.

Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions diffusées sur fond de versets coraniques.

Les jours où je regarde les cadavres joncher les rues de Bagdad ou de Beyrouth par la faute des kamikazes; où des cheikhs manchots et aveugles s’arrogent le droit d’émettre des fatwas parce qu’ils sont pleins comme des outres de haine et de sang; où je vois des petites filles, les unes courir protéger de leur corps leur mère qu’on lapide, et les autres revêtir la robe de mariée à l’âge de 9 ans.

Et puis ces jours où j’entends des mamans chrétiennes confier en sanglotant que leur progéniture convertie à l’islam refuse de les toucher sous prétexte qu’elles sont impures.

Quand j’entends pleurer ce père musulman parce qu’il ne sait pas pourquoi son garçon est allé se faire tuer en Syrie.
À l’heure où celui-ci parade dans les faubourgs d’Alep, kalachnikov en bandoulière, en attendant de se repaître d’une gamine venue de la banlieue de Tunis ou de Londres, à qui l’on a fait croire que le viol est un laissez-passer pour le paradis.

Ces jours où je vois les Bill Gates dépenser leur argent pour les petits Africains et les François Pinault pour les artistes de leur continent, tandis que les cheikhs du Golfe dilapident leur fortune dans les casinos et les maisons de charme (bordels) et qu’il ne vient pas à l’idée des nababs du Maghreb de penser au chômeur qui crève la faim, au poète qui vit en clandestin, à l’artiste qui n’a pas de quoi s’acheter un pinceau.

Et tous ces croyants qui se prennent pour les inventeurs de la poudre alors qu’ils ne savent pas nouer une cravate, et je ne parle pas de leur incapacité à fabriquer une tablette ou une voiture.

Les mêmes qui dénombrent les miracles de la science dans le Coran et sont dénués du plus petit savoir capable de faire reculer les maladies.
Ces prêcheurs pleins d’arrogance qui vomissent l'Occident, bien qu’ils ne puissent se passer de ses portables, de ses médicaments, de ses progrès en tous genres.
Et la cacophonie de ces "révolutions" qui tombent entre des mains obscurantistes comme le fruit de l’arbre.
Ces islamistes qui parlent de démocratie et n’en croient pas un mot, qui clament le respect des femmes et les traitent en esclaves.

Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège, qui revendiquent le statut de coépouse, de complémentaire, de moins que rien !

Et ces "niqabées" qui, en Europe, prennent un malin plaisir à choquer le bon Gaulois ou le bon Belge comme si c’était une prouesse de sortir en scaphandrier !
Comme si c’était une manière de grandir l’islam que de le présenter dans ses atours les plus rétrogrades.
Ces jours, enfin, où je cherche le salut et ne le trouve nulle part, même pas auprès d’une élite intellectuelle arabe qui sévit sur les antennes et ignore le terrain, qui vitupère le jour et finit dans les bars la nuit, qui parle principes et se vend pour une poignée de dollars, qui fait du bruit et qui ne sert à rien !

Voilà, c’était mon quart d’heure de colère contre les miens...
Souhaitons que l'Occident ouvre les yeux...."

- Fawzia Zouari

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OMMAGE AU DOCTEUR ABEN ALI, LE MÉDECIN AFRICAIN DFB_IMG_1567501828739.jpg'ORIGINE SONGHOY QUI SAUVA CHARLES VII, ROI DE FRANCE.

En 1405, un Toulousain du nom d’Anselme d’Isalguier arrive à GAO. Il y épousera une belle négresse de la haute société locale, Salma Kassaï. Formé à l’Université de Tombouctou, Aben Ali était le médecin personnel de cette jeune dame.

Après huit ans de vie commune à GAO, le couple, ses domestiques et son eunuque de médecin vont aller s’établir à Toulouse. Ils y habiteront le château familial du mari, le Castelnau-d’Estrêtefond.

Bientôt, docteur Aben Ali s’impose comme l’un des tous meilleurs médecins de la ville, avec une clientèle prestigieuse de plus en plus nombreuse. Ses techniques thérapeutiques africaines font le bonheur de ses patients, mais déconcertent ses pairs ; dont certains le jalousent, voire le dénigrent : un Nègre, de surcroît musulman, qui dame le pion aux médecins blancs, chez eux, avec un succès insolent, en plein XVème siècle au royaume de France !

Ce fut le comble lorsqu’en mars 1420, le dauphin de la couronne de France, Charles VII, en visite à Toulouse, tombe malade gravement. On redoute alors les conséquences politiques désastreuses qu’entraînerait son décès, dans ce contexte extrêmement critique de la guerre de Cent Ans.

Donc, tout ce que Toulouse compte de médecins réputés est envoyé à son chevet ; mais rien n’y fit. En désespoir de cause, on sollicita le docteur Aben Ali : en cinq jours de traitement, il parvint à guérir Charles VII, évitant ainsi l’aggravation de la crise politique qui sévissait en France. Le jeune dauphin de la couronne récompensera personnellement le médecin africain de 1000 écus d’or.

On imagine tout le prestige qu’Aben Ali pouvait attendre d’un tel exploit. Malheureusement, il n’aura pas le temps de le capitaliser, puisqu’il sera assassiné peu après par empoisonnement ; victime de jaloux et racistes.
 
En 1959, une bibliothécaire a appelé la police après qu’un enfant noir de 9 ans nommé Ronald McNair eut refusé de quitter la bibliothèque, car il voulait consulter des livres et les emprunter.

Il a obtenu un doctorat en physique au MIT, et est devenu astronaute. McNair est décédé à bord de la navette spatiale challenger (en 1986). La bibliothèque qui avait refusé de lui prêter des livres porte maintenant son nom, tout comme un programme d’aide aux étudiants universitaires (Ronald E. McNair Scholars Program), créé en hommage à ce brave et brillant homme.

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Une mère ça travaille à temps plein,
ça dort un oeil ouvert,
c'est d'garde comme un chien,
ça court au moindre petit bruit,
ça s'lève au petit jour,
ça fait des petites nuits .
C'est vrai, ça crève de fatigue,
ça danse à tout jamais, une éternelle gigue,
ça reste auprès de sa couvée,
au prix de sa jeunesse, au prix de sa beauté .
Une mère, ça fait ce que ça peu,
ça ne peut pas tout faire, mais ça fait de son mieux,
Une mère, ça calme des chamailles,
ça peigne d'autres cheveux que sa propre brousaille,
Une mère, c'est plus comme les autres filles,
ça oublie d'être fière, ça vit pour sa famille,
Une mère ça s'confine au berquaille,
c'est prit comme un noyau dans l'fruit de ses entrailles .
Une mère, c'est là que ça nous protège,
avec les yeux pleins d'eau, les cheveux pleins de neige,
Une mère, a un moment ça se courbe,
ça grinçe quand ça se penche,
ça n'en peut plus d'être lourde,
ça tombe, ça se brise une hanche,
puis rapidement ça sombre, c'est son dernier dimanche,
ça pleure et ça fond à vue d'oeil,
ça atteint la maigreur des plus petits cerceuils .
oh bien-sûr, ça veut revoir ensemble,
toute sa progéniture entassée dans sa chambre,
et ça fait semblant d'être encore forte,
jusqu'à c'que son cadet ait bien refermé la porte .
Et lorsque, toute seule ça se retrouve,
ça attend dignement que le firmament s'entrouve,
et puis là ça se donne le droit de fermer pour une fois les deux yeux a la fois .
Une mère ça ne devrait pas partir,
mais on y peut rien faire, mais on y peut rien dire .

BY LYNDA LEMAY

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Origines et histoire de la Saint-Valentin



Le 14 février , jour de Saint-Valentin, est considéré à divers endroits dans le monde comme la fête des amoureux, ou l’occasion pour les couples de s’échanger cadeaux et de célébrer leur amour. Pourtant, cette fête n'a pas toujours été synonyme de romantisme et de cadeaux…
Les origines païennes de la St-Valentin

Les origines de la Saint-Valentin ne font pas consensus, mais la majorité des historiens s'accordent sur le fait que cette fête trouve son origine dans la Rome antique. Dans le calendrier de la Grèce antique, la période de mi-janvier à mi-février était après tout consacrée au mariage sacré de Zeus et d’Héra…
Du 13 au 15 février se tenait aussi la fête des Lupercales en l’honneur du dieu Lupercus. Toutefois, pas de mots doux et de fleurs en cadeau, mais plutôt des sacrifices et rituels plutôt étranges. Le 15 février, douze ''prêtres'' sacrifient un bouc dans une grotte où, selon la légende, la louve avait allaité Romulus et Rémus. Couteaux ensanglantés à la main, et peaux d’animaux sur le dos, les prêtres enduisaient ensuite les jeunes gens issus de familles nobles du sang des bêtes sacrifiées.

Ils courent ensuite dans la ville armés de lanières de peau de bouc, pour fouetter les femmes qui se mettent sur leur passage, un rituel qui aiderait à les rendre fécondes! La fête prend aussi la forme d’une "loterie de l'amour"; les jeunes gens tirent au sort le nom de leur partenaire avec qui ils formeront un couple pour le reste de l'année, à leur grand bonheur ou non... Le pape fait abolir les Lupercales vers 495 et choisit saint Valentin comme saint patron des amoureux et décrète que le 14 février sera son jour de fête.
Valentin, un homme romantique au destin tragique?

Il s’agirait probablement du martyr Valentinus, qui vécut sous l'empereur romain Claudius II. Sous les ordres de l’empereur, tous les mariages de l'empire furent interdits, afin que ses soldats ne soient pas tentés de rester avec leur famille et partent en plus grand nombre à la guerre. Le prêtre Valentin, aurait cependant continuer de marier secrètement les amoureux, jusqu'à ce qu'il se fasse prendre, emprisonné, puis exécuté... un 14 février.
Aussi, celui-ci aurait fait la connaissance avant son exécutuion d'une femme, Augustine, à qui il aurait envoyé un message signé "Ton Valentin", avant sa mise à mort. Une bien tragique histoire qui pourrait expliquer l’origine des cartes de Saint-Valentin échangées le 14 février.
Toutefois, selon certains historiens, le célèbre Valentin pourrait faire référence à au moins sept saints du nom de Valentin!
Les "Valentines'', symboles d'amour

Quoiqu’il en soit, la Saint-Valentin devient une fête romantique et la tradition des ''Valentines'', ces cartes avec des poèmes ou messages d amour.

Au XVIIIe siècle, les Valentines deviennent aussi plus sophistiquées, décorées de cœurs et de cupidons et davantage encore à l’époque Victorienne; illustrées à la plume, ornées de dentelle, et même de tissus soyeux, on y ajoute parfois des fleurs séchées et du parfum.
À l’époque industrielle, la Saint-Valentin devient l’occasion d’offrir non plus seulement des cartes, mais aussi des fleurs, des chocolats, des bijoux, de sortir au restaurant, bref, la Saint-Valentin telle qu’on la connait relativement aujourd’hui, un peu partout à travers le monde..

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« Tu peux être riche à 20 ans et mourir à 25 ans.
Tu peux devenir riche à 50 ans et mourrir à 110 ans.
Comme tu peux être riche à 40 ans et perdre toute ta richesse, redevenir pauvre à 45 ans.
Ta situation peut changer du jour au lendemain..

C'est le cas du jeûne Malien Mamoudou Gamassa.
Il est en Europe, en moins d'un an, il a eu son titre de séjour, il est devenu pompier à Paris, il a un appartement, il sera naturalisé, il a signé plusieurs contrats publicitaires en quelques mois.
Tout comme il y a des maliens qui sont en Europe depuis 20, 30, 40 ans sans papier, sans travail et vivent dans la misère.

C'est ça le mystère de là vie..
Le chauffeur peut devenir passager,
Le passager peut prendre la place du chauffeur.
Tout bascule, tout peut changer du jour au lendemain selon la volonté de Dieu,
Chacun a son étoile et sa chance dans la vie.

Il faut rester patient et persévérant.
Travailler honnêtement et laisser Dieu décider du jour où ton étoile brillera.
Quand la volonté de Dieu doit s'accomplir dans ta vie, même le diable vote pour ton succès.

Ne jalouse personne, n'envie personne, vis ta vie tranquillement et attends patiemment ton heure de gloire ».

auteur inconnu

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La leçon du papillon

Un homme qui se promenait vit un cocon dans un petit trou.

Il s’arrêta de longues heures à observer le papillon qui s’efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, le papillon semblait avoir abandonné, et on aurait dit qu’il avait fait tout ce qu’il pouvait pour sortir de ce trou, sans succès.

Alors, l’homme décida d’aider le papillon : il prit un canif et ouvrit le cocon.
Le papillon sortit aussitôt mais son corps était maigre et engourdit, ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L’homme continua à l’observer, pensant que d’un moment à l’autre, les ailes du papillon s’ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu’il puisse prendre son envol. Il n’en fut rien !

Et le pauvre papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler.

Ce que l’homme, avec son geste de gentillesse et son intention d’aider, ne comprenait pas, c’est que le passage par le trou étroit du cocon était l’effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler.

La morale de cette histoire est que, parfois, l’effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.



















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Une histoire touchante à lire attentivement et à méditer.

Dans un village vivaient un homme riche, un boucher et un boulanger. Chaque jour, le boulanger passait dans chaque famille et donnait à chacun du pain. Il en est de même pour le boucher qui, après avoir tué son bœuf, distribuait la moitié de la viande aux villageois. Quant au riche, rien du tout... Un jour, le riche tomba malade, et personne au village n'alla lui rendre visite. L'état de sa santé se détériorait de jour en jour et personne ne lui rendit visite. Il finit par succomber à sa maladie. Il fut enterré seulement par les membres de sa famille, les villageois ayant refusé de les aider car, de son vivant, le riche n'a rien fait pour eux. Dès le lendemain du décès du riche, ni le boucher ni le boulanger ne donna encore quelque chose aux villageois. Comme la situation se répétait chaque jour, puisque les habitants avaient l'habitude de recevoir de la viande et du pain chaque matin, ils sont allés se plaindre auprès du boucher et du boulanger. Les deux leur font savoir que c'était l'homme riche qui achetait le pain et la viande qu'ils partageaient aux villageois. Mais, comme il n'est plus, eux aussi ont cessé d'en donner faute de moyens. C'est ainsi que les villageois sont rentrés tout tristes pour avoir causé du tort à l'homme riche. Hélas ! C'était trop tard pour se faire pardonner.
N'ayons jamais de préjugés sur quelqu'un. Combien de fois avons-nous eu tort de juger une personne avant de prendre connaissance de la réalité ?!
 
"Un vieil homme rencontre un jeune homme qui demande:
- Vous souvenez-vous de moi? Et le vieil homme dit NON.
Puis le jeune homme lui dit qu'il était son élève.
Et l'enseignant demande:
- Que fais-tu, que fais-tu dans la vie?

Le jeune homme répond:
- Eh bien, je suis devenu professeur.

- Ah, comme c'est bon, comme moi? (dit le vieil homme)
- Eh bien oui.
En fait, je suis devenu professeur parce que vous m'avez inspiré à être comme vous.

Le vieil homme, curieux, demande au jeune homme à quel moment il l'avait décidé à devenir professeur.
Et le jeune homme lui raconte l'histoire suivante:
- Un jour, un de mes amis, également étudiant, est arrivé avec une belle montre neuve, et j'ai décidé que je la voulais et je l'ai volée, je l'ai sortie de sa poche.
Peu de temps après, mon ami a remarqué le vol et s'est immédiatement plaint à notre professeur, qui était vous. Ensuite, vous êtes allé en classe:

- La montre de cet étudiant a été volée pendant les cours aujourd'hui.
Celui qui l'a volé, veuillez la rendre.

Je ne l'ai pas rendue parce que je ne voulais pas le faire.
Ensuite, vous avez fermé la porte et nous avez dis à tous de nous lever et qu'il allait un par un fouiller nos poches jusqu'à ce que la montre soit trouvée.
Mais, il nous a dit de fermer les yeux, car il ne le chercherait que si nous avions tous les yeux fermés.
Alors nous l'avons fait, et vous êtes allé de poche en poche, et quand vous avez fouillé ma poche, vous avez trouvé la montre et l'avez prise.
Vous avez continué à fouiller les poches de tout le monde, et quand vous avez eu fini vous avez dit
- "Ouvrez les yeux. Nous avons la montre .

Vous ne m'avez rien dit et vous n'avez jamais mentionné l'épisode.
Vous n'avez jamais dit non plus qui avait volé la montre.
Ce jour-là, vous avez sauvé ma dignité pour toujours.
Ce fut le jour le plus honteux de ma vie.
Mais c'est aussi le jour où ma dignité a été sauvée de ne pas devenir un voleur, une mauvaise personne, etc. Vous ne m'avez jamais rien dit, et même si vous ne m'avez pas grondé ou attiré mon attention pour me donner une leçon de morale, j'ai reçu le message clairement.

Et grâce à vous, j'ai compris ce qu'un vrai éducateur doit faire.
Vous souvenez-vous de cet épisode, professeur?

Et le professeur répond:
- "Je me souviens de la situation, de la montre volée, que je cherchais chez tout le monde, mais je ne me souvenais pas de toi, car j'ai aussi fermé les yeux en cherchant."

C'est l'essence même de l'enseignement:
Si pour corriger vous devez humilier; vous ne savez pas enseigner "



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superbe lettre dédiée aux parents,



Un jour, quand mes enfants seront assez vieux, pour comprendre la logique qui motive un parent, je vais leur dire, comme mes parents méchants m'ont dit:
Je t'ai aimé assez pour te demander où tu allais, avec qui, et quand tu serais de retour à la maison...

Je t'ai aimé assez pour être patiente jusqu'à ce que tu découvres que ta nouvelle meilleure amie ou ton grand copain, n'était pas fréquentable....
Je t'ai aimé assez pour me tenir plantée là dans le cadre de porte pendant deux heures tandis que tu nettoyais ta chambre, une affaire de 15 minutes en principe !
Je t'ai aimé assez pour te laisser voir la colère, la déception et les larmes dans mes yeux. Les enfants doivent apprendre que leurs parents ne sont pas parfaits.
Je t'ai aimé assez pour te laisser assumer la responsabilité de tes actions même lorsque les pénalités étaient si dures qu'elles ont presque brisé mon coeur.
Mais surtout,
Je t'ai aimé assez pour dire NON même quand je savais que tu me détesterais pour ça. Telles étaient les batailles les plus difficiles de toutes. Je suis heureuse de les avoir gagnées, parce qu'à la fin, tu y as gagné aussi. Et un jour, quand tes enfants seront assez vieux pour comprendre la logique qui motive des parents«méchants», tu leur diras :

Vos parents étaient ils méchants?
Les miens l'étaient J'ai eu les parents les plus méchants du monde entier !

Pendant que d'autres enfants mangeaient des sucreries pour les repas, j'ai dû manger des céréales, des oeufs, et des légumes. Quand d'autres ont eu du Coca et des hamburgers pour le dîner, j'ai dû manger de la viande, du fromage,des crudités et des fruits... Sans oublier toutes ces crêpes et gâteaux que ma maman nous a faits... Et vous pouvez deviner que ma mère m'a fait des dîners qui étaient différents de celui des autres enfants.
Mes parents ont insisté pour savoir où j'étais en tout temps. On aurait pu croire que j'étais enfermée dans une prison. Ils devaient savoir qui mes amis étaient et ce que je faisais avec eux.. Ils insistaient si je disais que je serais partie pour une heure, pour que ce soit seulement une heure ou moins..
J'avais honte de l'admettre, mais mes parents ont enfreint la loi sur la
protection des enfants concernant le travail en me faisant travailler.
J'ai dû faire la vaisselle, mon lit (quelle horreur!), apprendre à faire la cuisine, passer l'aspirateur, faire mon lavage, vider les poubelles et toutes sortes d'autres travaux cruels.... Je pense qu'ils se réveillaient la nuit pour imaginer de nouvelles tâches à me faire faire...
Ils ont toujours insisté pour que je dise la vérité, juste la vérité et rien que la vérité. Au moment où je suis devenue adolescente, ils pouvaient lire dans mon esprit et avaient des yeux tout autour de la tête. Puis, la vie est devenue vraiment dure !

Mes parents ne laissaient pas mes amis juste klaxonner quand ils venaient me chercher. Ils devaient venir à la porte pour qu'ils puissent les rencontrer. Pendant que chacun pouvait fréquenter un ou une petit(e) ami(e) quand ils avaient 12 ou 13 ans, j'ai dû attendre d'en avoir 16
À cause de mes parents, j'ai manqué beaucoup de choses que d'autres enfants ont expérimentées. Je n'ai jamais été prise pour vol à l'étalage, vandalisme, alcoolisme, ni même arrêtée pour tout autre crime. C'était «tout de leur faute».
Maintenant que j'ai quitté la maison, je suis instruite et une adulte honnête. Je fais de mon mieux pour être un parent méchant comme mes parents l'étaient.
Je pense que c'est ce qui ne va pas avec le monde aujourd'hui. Il n'y a
pas assez de parents méchants!

Merci donc à toutes les parents qui ont été assez méchants dans notre jeunesse pour nous apprendre à être de méchantes bonnes personnes.
Stéphanie CHARIOT-AUCHERE
39000 Lons le Saunier

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Lorsque les militaires boliviens parvinrent à débusquer Ché Guevara de sa cachette grâce au renseignement d’un berger, ils demandèrent à ce dernier : » Pour quoi avoir dénoncé un homme qui se sacrifiait pourtant pour votre liberté et votre bien-être ? »
Le berger : » je l’ai dénoncé parce que le crépitement des armes font peur à mes animaux en pâture » repondit-il !


Lorsque Mohamed Karim , en l’occurrence l’égyptien qui entreprit de résister contre l’assaut d’Alexandrie lancé par Napoléon fut arrêté par l’armée et condamné à la peine capitale, Napoléon lui fit appel et lui dit: » J’ai de la peine à exécuter un homme qui a défendu vaillamment son pays, je ne souhaiterai pas que l’Histoire retienne de moi, l’image d’une personne qui étouffe l’élan des patriotes à défendre l’intégrité de leur patrie, ainsi, je te promets la liberté si tu payes dix mille pièces d’or à titre de compensation financière à mes soldats que la résistance a tué » , tout souriant, Mohamed Karim répondit : » Je n’ai pas la totalité de la somme demandée sur moi, mais je suis redevable de plus 100 mille pièces d’or aux commerçants d’Alexandrie, ils payeront à coup sûr, cette amende, afin que j’ai la vie sauve ! «

Enchaîné, il fût conduit au marché d’Alexandrie pour le tour des comptoirs en quête de la somme dont dépendra sa liberté . Mais, à sa grande surprise, aucun commerçant ne s’apitoya sur son sort, pire, les indigènes l’accusèrent de fauteur de troubles , de destructeur de biens, et d’atteinte à la vitalité économique de la ville portuaire d’Alexandrie! »

Napoléon, au vu de la renégation des siens à son égard , déclara:
» Je concèderai que l’on mette la sentence de peine capitale en exécution pas parce que tu as tué mes soldats mais pour avoir lutté pour des personnes lâches, qui comptent plus sur leur commerce que sur leur intégrité ! «

Mohamed Rachid Rida , Réformateur Arabe Syrien disait : » Se révolter pour le compte d’un peuple ignorant, revient à s’immoler par le feu pour éclairer le chemin à un aveugle ! »

À méditer et à partager pour bien comprendre l’ingratitude de la société qui est prête à nier sans honte ses engagements, ses convictions et ses valeurs…
 
Dernière édition:
On raconte que lors d'une de ses réunions, Hitler a demandé qu'on lui apporte une poule.
Il l'a attrapée fort d'une main pendant qu'il la déplumait de l'autre. Se débattant de douleur, la poule a voulu fuir, mais elle n'a pas pu car l'étreinte était au-dessus de ses forces. Après avoir complètement déplumé l'infortunée poule, Hitler a ramassé toutes les plumes en disant à ses collaborateurs :

"Maintenant, regardez ce qui va se passer."

Hitler lâcha la poule sur le sol et s' éloigna d'elle.
Il prit une poignée de grains de blé, commença à marcher dans la pièce en jetant les grains de blé sur le parquet derrière lui.
Ses collaborateurs, interloqués, constatèrent que la poule, bien qu'effrayée et saignant, suivait avec douleur, mais docilement son bourreau pour ramasser quelques miettes, qu'Hitler laissait tomber derrière lui en tournant dans la pièce.

S'adressant alors à ses acolytes surpris, Hitler leur dit :
"Ainsi, vous venez de voir de quelle manière on gouverne facilement les peureux, les lâches ou les faibles. Vous avez vu comment la poule m'a suivi, malgré la douleur que je lui ai causée ? Je lui ai tout pris..., les plumes et la dignité, mais elle me suit quand même en quête de remoulages." Fin de l'histoire.

"situation actuelle de certains pays africains et européens"

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Bonjour la terre
Quelque chose d'invisible est arrivé et a tout remis en place...
Soudain, le prix des combustibles a baissé, la pollution a diminué, les gens ont du temps, tellement de temps qu'ils ne savent même pas quoi en faire.
Les parents sont avec leurs enfants, en famille, le travail a cessé d'être prioritaire, les voyages et les loisirs aussi.
Nous comprenons la valeur du mot solidarité.

Nous réalisons que nous sommes tous dans le même bateau, riches ou pauvres, que les étagères du supermarché sont vides pour tout le monde.
Les hôpitaux sont pleins, et l'argent des assurances ou nos propres moyens n'ont aucune importance parce que les hôpitaux privés ont été les premiers fermés.
Toutes les voitures sont également arrêtées, voiture de luxe ou vielle voiture, tout ça simplement parce que personne ne peut sortir.
Une demi-douzaine de jours pour que l'univers établisse l'égalité sociale qu'on prétendait être impossible à rétablir.
La peur a envahi tout le monde, mais la prise de conscience de notre vulnérabilité et de ce qui compte vraiment aussi...
Nous somme tous dans le même bateau, serrons nous les coudes ................



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