Roger Federer a largement dominé le Slovaque Lukas Lacko (6-2, 6-4, 6-2) ce dimanche en 1h24', et se qualifie sans difficulté pour le deuxième tour de Roland-Garros. Il y retrouvera le vainqueur de l'opposition entre le Portugais Gastao Elias et l'Argentin Diego Sebastian Schwartzman.
C'est en père tranquille que Roger Federer a fait son entrée dans le tournoi, ce dimanche Porte d'Auteuil. Le Suisse est resté moins d'une heure trente sur le Court Philippe-Chatrier pour se défaire de Lukas Lacko (6-2, 6-4, 6-2), sous les yeux de sa petite famille - les jumelles en tête - présente dans les tribunes. Aucune appréhension donc pour le numéro 4 mondial, grand habitué des tournois du Grand Chelem, qui a su faire parler son expérience pour s'assurer sans trembler une place au deuxième tour.
« Je suis heureux de m’être rendu compte assez tôt durant le match que les choses tourneraient bien. Parce qu’on ne sait jamais : un jour « sans », un adversaire qui joue très bien, et vous vous retrouvez à faire votre sac dès le premier jour… Bon je n’étais pas vraiment nerveux avant le match. Parce que je sais aujourd’hui qu’un tournoi du Grand Chelem n’est pas un sprint, mais plutôt un marathon. C’est pour ça que je suis beaucoup plus décontracté aujourd’hui qu’il y a quelques années, au moment d’attaquer une quinzaine . L’expérience aide. (…) Je ne partage du tout l’avis de ceux qui croient que, cette année, Rafa est vulnérable. Pour moi, il est la favori n°1 du tournoi, devant Novak, puis devant les autres. La situation me paraît très claire. »
C'est en père tranquille que Roger Federer a fait son entrée dans le tournoi, ce dimanche Porte d'Auteuil. Le Suisse est resté moins d'une heure trente sur le Court Philippe-Chatrier pour se défaire de Lukas Lacko (6-2, 6-4, 6-2), sous les yeux de sa petite famille - les jumelles en tête - présente dans les tribunes. Aucune appréhension donc pour le numéro 4 mondial, grand habitué des tournois du Grand Chelem, qui a su faire parler son expérience pour s'assurer sans trembler une place au deuxième tour.
« Je suis heureux de m’être rendu compte assez tôt durant le match que les choses tourneraient bien. Parce qu’on ne sait jamais : un jour « sans », un adversaire qui joue très bien, et vous vous retrouvez à faire votre sac dès le premier jour… Bon je n’étais pas vraiment nerveux avant le match. Parce que je sais aujourd’hui qu’un tournoi du Grand Chelem n’est pas un sprint, mais plutôt un marathon. C’est pour ça que je suis beaucoup plus décontracté aujourd’hui qu’il y a quelques années, au moment d’attaquer une quinzaine . L’expérience aide. (…) Je ne partage du tout l’avis de ceux qui croient que, cette année, Rafa est vulnérable. Pour moi, il est la favori n°1 du tournoi, devant Novak, puis devant les autres. La situation me paraît très claire. »
