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DZSatien Donateur
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-L’Algérie affrontera l’Egypte, le 14 novembre prochain au Caire, dans le dernier match du groupe C pour la qualification à la Coupe du Monde 2010 en Afrique du sud. Pour se qualifier, les Verts doivent seulement éviter une défaite par plus de deux buts d’écart. À moins d’un mois de cette rencontre entre des éternels rivaux, les supports algériens retiennent leur souffle. Au Caire, les Verts n’auront pas la tâche facile. Ils seront confrontés à l’hostilité légendaire des 100.000 supporters du Cairo stadium et à la volonté des Egyptiens de se qualifier au Mondial après un début difficile dans le groupe C. La pression des supporters égyptiens sera énorme et les Egyptiens ne lâcheront pas facilement la qualification sur leur terrain, devant leur public. La Fédération algérienne de football (FAF) est parvenue à obtenir seulement 2.500 tickets d’entrée au stade pour les supporters algériens. Pour faciliter le déplacement des supporters, la compagnie nationale Air Algérie propose des billets à 50.000 dinars. Mais les supporters des Verts auront du mal à faire entendre leur voix dans le stade mythique de la sélection égyptienne.
Malgré ce handicap, l’Algérie doit prouver qu’elle est supérieure à l’Egypte pour mériter une qualification historique au Mondial et mettre fin à la suprématie des Egyptiens sur le football africain. Avec des joueurs de qualité qui jouent dans de grands clubs en Europe, l’équipe nationale a les moyens de battre l’Egypte sur son terrain. L’erreur serait de partir au Caire avec l’idée de perdre avec moins de but d’écart. Les Verts doivent être dans un autre état d’esprit. Celui de revenir d’Egypte avec une belle victoire. Car si on peine à perdre des Egyptiens en perte de vitesse, pourquoi aller en Afrique du Sud. Les Algériens attendent de leur équipe nationale autre chose qu’une simple figuration dans les compétitions internationales et continentales. Pour y arriver, l’entraîneur Rabah Saadane doit se montrer moins frileux et plus audacieux dans ses sélections. Certains joueurs n’ont plus leur place en tant que titulaires, même s’ils ont le soutien des supporters algériens. Et des talents comme Yebda et Ghiless ne doivent plus être laissés sur le banc de touche jusqu’aux 10 dernières minutes.
Outre l’hostilité des supporters, les Verts risquent d’être confrontés à un arbitrage partial en faveur des Egyptiens, habitués aux jeux de coulisses. La Confédération africaine de football (CAF) doit désigner un arbitre de qualité pour cette rencontre pour ne pas altérer davantage l’image catastrophique de l’arbitrage africain à moins d’une année de la Coupe du Monde qui se tient pour la première sur le continent noir.
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Malgré ce handicap, l’Algérie doit prouver qu’elle est supérieure à l’Egypte pour mériter une qualification historique au Mondial et mettre fin à la suprématie des Egyptiens sur le football africain. Avec des joueurs de qualité qui jouent dans de grands clubs en Europe, l’équipe nationale a les moyens de battre l’Egypte sur son terrain. L’erreur serait de partir au Caire avec l’idée de perdre avec moins de but d’écart. Les Verts doivent être dans un autre état d’esprit. Celui de revenir d’Egypte avec une belle victoire. Car si on peine à perdre des Egyptiens en perte de vitesse, pourquoi aller en Afrique du Sud. Les Algériens attendent de leur équipe nationale autre chose qu’une simple figuration dans les compétitions internationales et continentales. Pour y arriver, l’entraîneur Rabah Saadane doit se montrer moins frileux et plus audacieux dans ses sélections. Certains joueurs n’ont plus leur place en tant que titulaires, même s’ils ont le soutien des supporters algériens. Et des talents comme Yebda et Ghiless ne doivent plus être laissés sur le banc de touche jusqu’aux 10 dernières minutes.
Outre l’hostilité des supporters, les Verts risquent d’être confrontés à un arbitrage partial en faveur des Egyptiens, habitués aux jeux de coulisses. La Confédération africaine de football (CAF) doit désigner un arbitre de qualité pour cette rencontre pour ne pas altérer davantage l’image catastrophique de l’arbitrage africain à moins d’une année de la Coupe du Monde qui se tient pour la première sur le continent noir.
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