qu'est-ce que la liberté ?
- Auteur de la discussion cybernet
- Date de début
herni
DZSatien Légendaire
- Inscrit
- 2/9/08
- Messages
- 2 112
salut
de nos jours, plus grand monde sait ce qu'est la liberté...
la liberté de faire ce qu'on veut, de téléphoner, de manger, etc...
je veux rattacher ce mot au " devoir de mémoire " : n'oublions pas les 2 grandes guerres qui ont fait tant de morts (dans nos familles, nos amis); ces morts ne doivent pas être morts pour rien car grâce à eux, nous pouvons faire ce que nous voulons, même discuter sur le net...
c'est aussi de la liberté d'expression
@+
de nos jours, plus grand monde sait ce qu'est la liberté...
la liberté de faire ce qu'on veut, de téléphoner, de manger, etc...
je veux rattacher ce mot au " devoir de mémoire " : n'oublions pas les 2 grandes guerres qui ont fait tant de morts (dans nos familles, nos amis); ces morts ne doivent pas être morts pour rien car grâce à eux, nous pouvons faire ce que nous voulons, même discuter sur le net...
c'est aussi de la liberté d'expression
@+
starsky
DZSatien Expert
- Inscrit
- 10/4/09
- Messages
- 1 265
Et de quelle couleur est la liberté pour vous ?
Les années aidant, j'ai pris conscience que la liberté s'arreterai un jour, pour causes diverses et variées...
Alors, tous les matins, j'apprécie ma liberté de prendre la route, avec ma torino, d'aller à la poursuite des ces horizons que j'affectionne tant. c'est cela la liberté pour moi...les gens pensent ce qu'ils veulent, je ne fuis rien, je vis, et c'est cela etre libre...et lorsque je rentre chez moi, je sais qu'une petite main douce se mettra dans la mienne, mais ça, c'est une autre histoire,!
Les années aidant, j'ai pris conscience que la liberté s'arreterai un jour, pour causes diverses et variées...
Alors, tous les matins, j'apprécie ma liberté de prendre la route, avec ma torino, d'aller à la poursuite des ces horizons que j'affectionne tant. c'est cela la liberté pour moi...les gens pensent ce qu'ils veulent, je ne fuis rien, je vis, et c'est cela etre libre...et lorsque je rentre chez moi, je sais qu'une petite main douce se mettra dans la mienne, mais ça, c'est une autre histoire,!
slimbar
DZSatien V.I.P
- Inscrit
- 26/10/07
- Messages
- 3 062
wallah je nai pas lu vos réponse et vos suggestions, je pose seulement une question quant vous parler du mot LIBERTÉ cest quoi pour vous liberté,
liberté ( houria)
liberté des mots
liberté de la pensee
liberté de la parole
liberté de la presse
liberté de la femme
liberté de la jeunesse
chacun traduit ce mot de liberte sa guise a vos plumes
liberté ( houria)
liberté des mots
liberté de la pensee
liberté de la parole
liberté de la presse
liberté de la femme
liberté de la jeunesse
chacun traduit ce mot de liberte sa guise a vos plumes
Yacine_3tm
DZSatien Occasionnel
- Inscrit
- 21/6/09
- Messages
- 52
Je crois que l'homme n'est jamais libre, psychologiquement je précise, ce qui est le plus important.
fort
DZSatien Légendaire
- Inscrit
- 25/2/09
- Messages
- 1 430
Penser est un jeu d'enfants !
Pour que les enfants continuent d'avancer doucement sur le chemin de la pensée en apprenant à interroger leur relation aux autres et à eux-mêmes dans la construction de leur identité, la nécessité des règles...
Une belle initiation au questionnement pour les aider à devenir des citoyens libres et avertis !
6 grandes questions:
Pour que les enfants continuent d'avancer doucement sur le chemin de la pensée en apprenant à interroger leur relation aux autres et à eux-mêmes dans la construction de leur identité, la nécessité des règles...
Une belle initiation au questionnement pour les aider à devenir des citoyens libres et avertis !
6 grandes questions:
- Peux-tu faire tout ce que tu veux ?
- Les autres t'empêchent-ils d'être libre ?
- As-tu besoin de grandir pour devenir libre ?
- Un prisonnier peut-il être libre ?
- A-t-on tous le droit d'être libre ?
- À quoi peut te servir ta liberté ?
fort
DZSatien Légendaire
- Inscrit
- 25/2/09
- Messages
- 1 430
On nous dit (dans la “Lettre aux éducateurs”) qu’il n’existe pas de liberté sans règles. Un homme n’est vraiment libre que s’il obéit à des règles. Aussi curieux que cela soit, ce paradoxe est devenu un lieu commun : soyez obéissants et vous serez libres… Cette idée serait-elle un mensonge politique ?
Il y a quelque chose d’incroyable dans cette idée. Comment être libre si on nous empêche par des règles de faire ce que nous voulons ? Les exemples de frustration et de renoncement à nos désirs à cause de règles qu’il faut respecter sont innombrables. Nous sommes frustrés de n’avoir pas pu : la règle est une limite fixée à nos possibilités.
Mais est-ce bien cela, être libre : réaliser toutes ses possibilités ? Cette idée est tentante, mais elle est très abstraite, disons même qu’elle est complètement irréalisable ; ou alors il faudrait vivre entièrement seul et faire à chaque instant ce que l’on veut, sans déranger personne. Mais cette liberté aurait-elle un prix ? Cette liberté aurait-elle un goût ? Serait-elle même sentie ?
Sentir le prix de la liberté, c’est vivre avec d’autres en sachant qu’on ne sera pas dérangé ; c’est avoir l’assurance que d’autres ne me gêneront pas à tout instant. En somme la vraie liberté est une liberté sociale, mais protégée. Sans cette assurance, je suis dépendantdu moindre caprice d’autrui. Je ne suis pas libre, mais j’ai peur.
La liberté tient dans cette absence d’inquiétude, lorsque je sais que dans la plupart des situations personne ne viendra rompre ma tranquillité. Mais à cela il y a une condition : l’existence d’une règle qui nous empêche réciproquement de nous priver de liberté.
Il n’y a pas d’autre moyen : il faut assurer cette liberté en la limitant. Il n’y a pas d’autre liberté. Mais nous aimons toujours croire à autre chose…
La lettre aux éducateur
Il y a quelque chose d’incroyable dans cette idée. Comment être libre si on nous empêche par des règles de faire ce que nous voulons ? Les exemples de frustration et de renoncement à nos désirs à cause de règles qu’il faut respecter sont innombrables. Nous sommes frustrés de n’avoir pas pu : la règle est une limite fixée à nos possibilités.
Mais est-ce bien cela, être libre : réaliser toutes ses possibilités ? Cette idée est tentante, mais elle est très abstraite, disons même qu’elle est complètement irréalisable ; ou alors il faudrait vivre entièrement seul et faire à chaque instant ce que l’on veut, sans déranger personne. Mais cette liberté aurait-elle un prix ? Cette liberté aurait-elle un goût ? Serait-elle même sentie ?
Sentir le prix de la liberté, c’est vivre avec d’autres en sachant qu’on ne sera pas dérangé ; c’est avoir l’assurance que d’autres ne me gêneront pas à tout instant. En somme la vraie liberté est une liberté sociale, mais protégée. Sans cette assurance, je suis dépendantdu moindre caprice d’autrui. Je ne suis pas libre, mais j’ai peur.
La liberté tient dans cette absence d’inquiétude, lorsque je sais que dans la plupart des situations personne ne viendra rompre ma tranquillité. Mais à cela il y a une condition : l’existence d’une règle qui nous empêche réciproquement de nous priver de liberté.
Il n’y a pas d’autre moyen : il faut assurer cette liberté en la limitant. Il n’y a pas d’autre liberté. Mais nous aimons toujours croire à autre chose…
La lettre aux éducateur
